Chapitre 21 - Asher

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Situation plus érotique, tu meurs. Elle est là, nue dans ma douche à quelques centimètres de moi telle une apparition divine et elle est en train de me faire perdre la tête. Je déteste la réaction qu'elle suscite dans mon corps, déjà hier lors du cours de Krav-maga, j'ai été obligé de me faire violence pour la rejeter. Je l'aurais prise sur le tatami si ça ne tenait qu'à moi.

C'est la première fois que je suis à ce point troublé par une nana et il faut que ce soit elle, bien sûr. Je suis stupéfait par sa beauté et sa pureté, sa poitrine est bien proportionnée, elle n'est pas maigre, ni grosse, elle a des formes, elle est canon, tout me plaît en elle. Elle me prend le gant des mains et commence à me le passer sur le torse, elle descend bas, très bas. Je tends mes bras de part et d'autre d'elle, pose mes paumes sur la vitre et me rapproche considérablement d'elle. Cette putain de cabine est beaucoup trop étroite comme son vagin, j'en suis certain.

Je suis dur comme un roc et ça ne risque pas de faiblir. Une fois notre petite séance de spa terminée. Nous nous enroulons dans des serviettes propres, je l'invite à me suivre dans la pénombre de ma chambre, la nuit commence à tomber, je n'allume pas les lumières, c'est sa première fois et je ne veux pas l'effrayer. Elle s'assoit sur le bord de mon lit toujours nue, recouverte par une serviette éponge, ses cheveux sont humides et ondulent légèrement.

Je caresse sa cicatrice et lui pose la question pour la troisième fois.

_ Comment t'es tu fais ça ?

_ Je me suis pris un coup de couteau.

Cette fois elle répond et sans ciller mais merde c'est pire qu'une mauvaise prise de Krav, je m'attendais à tout sauf à ça, elle baisse la tête, ses épaules s'affaissent et la tristesse envahit chaque trait de son visage, comme à chaque fois que j'ai essayé d'aborder le sujet, je comprends que ça lui coûte de parler de cette histoire, c'est sûrement traumatisant, je coupe court, mais je ne compte pas la lâcher avec ça, je veux savoir qui est le connard qui lui a fait ça. Je poursuis.

_ Avant de commencer, je vais t'expliquer deux, trois petites choses. J'annonce, ce qui j'avoue, plombe un peu l'ambiance, pour la spontanéité on repassera plus tard. Je poursuis. Il y a trois phases, d'abord la phase d'échauffement, on s'embrasse, on se met en condition.

_ Tu me fais rire, on dirait qu'on s'apprête à faire un combat.

_ Ensuite il y a la phase de préliminaires, celle qui permet de découvrir le corps de l'autre dans les moindres détails et de pousser l'excitation à son paroxysme. Et la troisième et dernière phase, celle dite de pénétration.

_ Ok, ça à l'air plutôt simple dit comme ça.

Je fais tomber ma serviette au sol, elle ne détourne pas le regard, je m'avance lentement vers elle et retire sa serviette. Je lui tend la main pour qu'elle se lève, je passe une mèche de ses cheveux caramels derrière son oreille et commence à déposer des baisers dans son cou puis très vite un peu partout sur la totalité de son corps, je ne suis pas du genre patient et si je m'écoutais, je la prendrais maintenant sur le bureau, mais elle est vierge et je ne dois pas négliger ce point.

_ Tu es divine. Je chuchote en continuant ma lancée. Ses seins sont doux comme de la soie, ses tétons durs comme des bonbons au caramel. Lorsque je la sens suffisamment excitée, je la pousse légèrement sur le lit où elle se laisse tomber, j'écarte doucement ses cuisses et m'immisce à l'intérieur. Elle a peur, elle résiste et tente de les refermer, mais je lui parle, je la rassure, je luis susurre des mots qui viennent de mon cœur et elle finit par déclarer forfait. Je caresse l'intérieur de ses cuisses, y dépose une myriade de baisers. Je continue aussi brillamment que possible pour la mettre en confiance et pour lui donner le plaisir qu'elle mérite et en quelques minutes à peine, j'arrive à faire sortir le plus beau son de sa voix jamais entendu, elle vient d'avoir un putain d'orgasme, le premier de sa vie, j'en suis certain, c'est pas le genre de nana à aller explorer son corps en solitaire, ses jambes trembles et des larmes perlent au coin de ses yeux.

Parce que ce sera toujours toi !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant