Chapitre 14 - Du passe

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Qu'est-ce que Lucas fait ici ?

- Je dois te parler.

- Je n'ai absolument rien à te dire.

Je lui lance un regard glacial.

- Je regrette énormément de choses.

- J'en ai rien à faire. C'est toi qui a tout gâcher. C'est toi qui a détruit tout nos projets.

- Elena c'est qui ?

- Une personne que je n'aurais jamais aimais croisés.

- T'es qui toi ?

- Son mec et alors ?

- Qu'est-ce que tu fait avec ma femme ?

- Non mais t'es complètement malade. Toi et moi on n'est plus ensemble Lucas.

- Tu seras toujours mienne Elena.

- Écoute moi bien mon gars.

Antoine s'approche de Lucas quand je vois que ça commence a dégénérer je l'arrête et je décide de prendre la parole.

- Antoine laisse moi parler. Je m'approche de Lucas. On est plus ensemble Lucas, je suis bien plus heureuse actuellement qu'avec toi toutes ces années. J'aime Antoine et tu n'a aucune chose à dire.

- Tu ne seras jamais heureuse avec ce footballeur, dès qu'il aura trouver meilleur viande il te laissera tomber comme une merde et à ce moment là tu reviendra vers moi.

Antoine lui saute dessus, et une bagarre éclate entre les deux. Des coups volent de tout les côtés.

- Putain arrêtez s'il vous plait. Lucas laisse le. J'essaie de l'ai séparer mais sans succès.

Mon frère débarque, attrape Antoine pour l'écarter de mon ex et prends sa place. Il envoie plusieurs coup de poing à Lucas qui est salement amochés. Les vigiles arrivent pour les séparer.

- Écoute moi bien fils de pute. Je rêve de ce moment depuis tellement d'années. La prochaine fois que je te voit t'approches d'elle ou d'Antoine je te jure que même ta mère ne te reconnaîtra pas. T'a pris ma soeur pour une grosse conne alors ne compte même pas lui briser son bonheur maintenant qu'elle est enfin heureuse. Que je te revois pas l'approcher.

Hugo s'essuie le nez qui coule de sang. Je me suis caler dans les bras d'Antoine en pleurs. J'ai eu tellement peur pour lui et mon frère. Je tremble.

- Ca va bébé tout va bien je suis là. Il me frotte le dos.

- Antoine je suis tellement désoler.

- Il t'embêtera plus Amy, je te le promet.

Les vigiles attrapent Lucas et commence à l'écarter de nous.

- Attendez. Je m'adresse au vigile.

Je marche en leur direction et Lucas me regarde.

- Tu t'ai enfin décider à venir vers moi ?

Je le frappe de toutes mes forces au visage. J'entends les garçons rigoler derrière moi. Je secoue ma main, je crois que je me suis casser quelque chose en le frappant. Sa tête a virer sur le côté. Il a le visage en sang après les coups d'Antoine et d'Hugo.

- Ne t'avise plus jamais d'essayer de me parler.

- Tu va me le payer Elena, crois moi tu es loin de te débarrasse de moi. Hurle t-il.

Les vigiles l'emmènent et Antoine vient vers moi. Il pose ces mains sur mes jours.

- Ça va ma puce ?

- Je crois que je me suis fais mal à la main.

- On t'emmènera a l'infirmerie en arrivant, venez le bus nous attends j'ai prévenu Paul.

- Aller viens princesse.

Antoine me prends la main et on rentre dans le bus. Tout le monde nous regardent. Je suis affreusement gênée. On s'assoit. Didier nous interpelle.

- Que c'est t-il passer tout les 3 ?

- C'est de ma faute Coach.

- Non Didier c'est la mienne. Je peux tout vous expliquer.

- On en parlera demain matin dans mon bureau. On a de la route à faire.

Il se rassoie, génial. Le bus démarre. Je glisse ma tête sur l'épaule d'Antoine.

- Ça va aller.

- Je m'en veux tellement, tu t'ai battue avec, Hugo pareille. Didier va nous tuer.

- Écoute ce n'est rien, mais je l'aime vraiment pas ce type. C'est vraiment ton ex ? Celui dont tu m'avais parlais ?

- Oui, mais je ne pensais pas le revoir de ci tôt.

- J'aurais dû le massacre.

- Pour ensuite te prendre une sanction ? On va déjà s'attirer les foudres de Didier. Je ne veux pas que tu prenne pour moi. C'est de ma faute.

- Ne t'en veux pas c'est lui qui a chercher après tout. Je le laisserais plus jamais s'approcher de toi.

- Antoine ?

- Oui ma puce ?

- Je ne veux pas te perdre.

- Moi non plus, j'attends ce moment depuis des semaines. Je ne compte pas te lâcher maintenant tu est à moi.

Je souris.

- Je t'aime.

- Je t'aime moi aussi.

Je commence à m'endormir sur ses épaules, sa mains glissent sur la mienne. Je ne sais pas comment je vais réussir à gérer tout ça mais j'appréhende énormément la réaction à Didier concernant ça, mais aussi car je sais que aucune relation n'est tolérée entre les joueurs et le « staff » malgres que je ne travail pas avec eux. J'appréhende beaucoup.

COUP DE FOUDRE / GRIEZMANNOù les histoires vivent. Découvrez maintenant