PDV Laguerra:
Dans la chambre de Mendoza:
Laguerra: J'ai une question.
Mendoza: Je t'écoute.
Laguerra: Comment vous fêtez l'anniversaire de Pablo ?
Mendoza: On...On se lève à l'aube...Je peux pas en dire plus plus...
Laguerra: Je comprends...
Le lendemain.
J'entre dans le salon, toute la famille de Mendoza tiens une bougie de la main. Maria m'en tend une.
Isabella: Juan est bientôt prêt.
Alvaro: Il n'a pas changé. Il ne sait toujours pas ce qu'est la ponctualité.
Il est dur avec Juan, c'est à croire qu'il n'est pas triste. Mendoza arrive, il n'a pas l'air très bien.
Maria(chuchote): Isabella.
Je me baisse pour être à sa hauteur.
Maria: ça lui fais toujours cet effet. Il essaye de rester fort mais il finit toujours par craquer.Il va avoir besoin de ton soutien.
Pauvre Juan. Juan prend une bougie. On prend la direction du cimetière.
Mère: c'est ici.
Ils déposent tous leur bougie sur la tombe. Sur cette tombe il y a écrit:
Pablo Mendoza
1508-1522
et en dessous:
"On n'oubliera jamais ton sourire qui nous redonnait espoir"
Je regarde Juan. Je sens qu'il ne va pas bien. Je me rapproche de lui. Il prend sur lui, il ne veut sans doute pas que je le vois pleurer.
Laguerra: Tu peux pleurer si tu en as envie.
Il me regarde dans les yeux. Ses larmes commencèrent à monter. Il tenta de les retenir mais il finit par craquer. Je passa mes bras autour de lui. Je lui chuchote à l'oreille:
Laguerra: Il n'est peut-être plus sur terre mais il restera à jamais dans ton cœur.
Maria aussi le pris dans ses bras.
Quelques heures plus tard.
Je suis avec Maria dans sa chambre.
Maria: Il est toujours comme ça le jour de l'anniversaire.
Laguerra: Il devait être très proche tout le deux.
Maria: Mama m'a expliqué qu'un peu après ton départ il s'est beaucoup rapproché de Pablo. Chaque année il essaye de retenir ses larmes pour ne pas passer pour quelqu'un de fragile.
Isabella: Il faut qu'il comprenne que même si tout le monde le pense pleurer n'est pas tabou. Des fois ça fait du bien de pleurer.
Maria: Je suis d'accord. On va le voir ?
On entre dans sa chambre. Il est allongé sur son lit et il pleure. On s'assoit au bord du lit.
Isabella: Juan.
Il se relève et essuie ses larmes. Maria lui fait un câlin.
Maria: On sera toujours là pour toi.
Il retient toujours ses larmes.
Isabella: Juan, tu as la droit de pleurer ça peut te faire du bien.
Des larmes commencèrent à couler sur son visage. Je le pris dans mes bras.
Mendoza: Merci.
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Mendoguerra
FanfictionImaginez que Laguerra soit rester dans la Nef au lieu de suivre Ambrosius dans la cité de Kûmlar, les choses se seraient peut-être passées différemment, non ? Une fanfiction originale où les péripéties ne manquent pas ! N'hésitez pas à laisser un p...