Chapitre 47

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Laguerra: Papa, j'ai une question : pourquoi m'a-t-on dit que tu étais mort ?
Docteur: Avec Marinche et Teteola nous avions été fait prisonniers par ces maudits Olmèques. Lorsque nous avions réussi à nous échapper le chemin s'est détruit et nous sommes tombés dans le vide. Enfin dans la rivière qui passait sous leur base. De nous trois je suis le seul survivant.
Laguerra: Tant mieux, nous sommes enfin débarrassés de cette horrible femme.
Luna: Tu l'aimais pas ?
Laguerra: Oh non, elle était cruelle avec beaucoup de personnes, mais encore plus avec moi.
Mendoza: Si vous vous voulez vous pouvez vous joindre à nous. Nous allons repartir pour l'Espagne demain.
Docteur: Oui, je veux bien.
Laguerra: On va aller voir la sœur de Mendoza.
Mendoza: Oh non, pas elle !
Laguerra: Ah ah ah. Espérons que je n'ailles pas le droit à un interrogatoire.
Mendoza: Crois-moi tu vas y avoir droit.
Luna: Moi aussi ?
Mendoza: Sans doute.
Docteur: Vous avez un bateau ?

Mendoza: Isabella et ma famille m'en on offert un pour mes 30ans.
Docteur: C'est un beau cadeau ça.
Laguerra: Il y a aussi eu les premiers pas de Luna.
Mendoza: C'est vrai. Son premier mot pour tes 26ans et ses premiers pas pour mes 30ans. Elle est parfaite cette enfant.
Luna: Je sais, je sais.
Laguerra: La modestie, elle la tient de qui ?

2 mois plus tard. La nuit, Laguerra est seule sur le pont. Elle sent quelqu'un l'enlacer. Mendoza lui dit à l'oreille:
Mendoza: Tu ne dors pas ?
Laguerra: Non, je n'ai pas sommeil. Toi non plus j'imagine ?
Mendoza: Oui.
Elle se retourna et passa les bras autour du cou de Juan. Celui-ci passa ses bras dans son dos. Laguerra approcha son visage de celui de son capitaine. Elle l'embrassa.
Un peu plus loin, Luna regarde ses parents dans l'entre-bâillement de la porte.
Docteur: Que fais-tu debout à cette heure ?
Luna: Chut ! J'espionne Papa et Maman.
Docteur: Comment ça ?
Luna: Regarde. Ils sont pas trop mignons ?

Mendoza et Laguerra s'assoient sur les marches.
Mendoza: Tu n'as pas froid ?
Laguerra: Si tu me prends dans tes bras je n'aurai plus froid.
Mendoza lui sourit et s'exécuta.
Mendoza: C'est bon ?
Laguerra: Perfecto Capitan.
Le lendemain.
Luna: Eh oh ! Debout. Au lieu de vous embrasser hier soir vous auriez dû dormir !
Docteur: On est à Séville.
Luna: Et comme je suis une petite fille adorable j'ai préparé vos affaires.
Mendoza: C'est vrai ?
Luna: Oui.
Docteur: Euh...Mendoza ? Tu pourrais nous faire accoster ?
Mendoza: Je m'en occupe.
Une fois le bateau accoster:
??: Juan !!
Mendoza: Maria ?!
Maria: Juan ! Tu es de retour. C'était bien ton tour du monde avec ta chérie ? Oh la la ! Qu'est-ce qu'elle a grandi Luna.
Luna: C'est qui ?
Maria: C'est une blague ?
Luna: Non.
Laguerra: Ah ah ah.
Mendoza: C'est ma sœur.
Maria: Et lui c'est qui ?
Laguerra: Mon père.

Maria: Mais c'est super ! Bon aller dépêcher vous, les parents vont être hyper content quand ils vont apprendre que vous êtes de retour.
Mendoza: Alvaro est là ?
Maria: Non. Il reviendra que pour l'anniversaire de Pablo.
Mendoza: Dommage.
Maria: Non c'est pas dommage. Au moins j'ai mon frère préféré pour moi toute seule.
Laguerra: Non, je crois pas.
Mendoza: Ah ah ah.

A la maison des Mendoza.

Maria: Papa, Maman ! Juan et sa chérie sont rentrés !!
Mère: C'est vrai ? Juan Carlos ! Comme elle a grandi ta fille.
Père: Le Docteur Laguerra ?
Docteur: Bonjour.
Mère: Vous êtes toujours le bienvenue chez nous.
Docteur: J'ai appris pour votre fils, je vous présente toutes mes condoléances.

Maria: Il peut rester ici le temps que les enfants reviennent les chercher ?

Mère: Bien sûr.

Docteur: Ils viendront nous chercher mais pour aller où ?

Laguerra: A Pattala. Et il y a même Athanaos là-bas.

MendoguerraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant