Chapitre 70

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PDV Mendoza:
Alors comme ça ma belle bretteuse refusait de marcher ? Ahah, c'était déjà une vraie tête de mule ! Je m'en souviens pas, mais à ce que dit ma mère on s'appréciait déjà beaucoup à l'époque. Je tournai la tête vers ma bretteuse qui était toujours assise sur mes genoux. Elle avait l'air très captivé par notre enfance. Je suppose qu'elle aussi doit trouver ça dommage que l'on s'en souvienne pas... C'est très drôle car la description d'Isabella lorsqu'elle était petite me fait beaucoup penser à Luna ! Luna... Elle me manque terriblement... Je verrais avec Isa et les enfants pour qu'on parte à sa recherche demain dès l'aube. J'enlaçai Isabella qui sursauta, ce qui me fit rire. Elle tourna la tête vers moi et me lança un regard noir qui s'adoucit rapidement. Après cela, un silence de mort s'installa dans la pièce jusqu'à ce que le ventre d'un des enfants gargouille.


Alvaro: Alors comme ça vous avez faim ? Dit-il en rigolant.


Esteban: Euh... Oui un peu...

Tao: Beaucoup !

Laguerra: C'est dingue tu me fais penser à deux marins, mais qui déjà ? Dit-elle en lançant un regard amusé à Tao puis à Mendoza.

Mendoza: Sancho ! Pedro ! Sortez de ce corps, dit-il en rigolant.


Alvaro: Bon, je vais aller vous préparer le repas.

Zía: Tu veux un coup de main ?

Alvaro: Ne t'inquiètes pas, je m'occupe de tout, profite de tes amis

Je commença à discuter avec Athanaos.


Laguerra: Juan, María, vous pourriez aller aider Alvaro, comme ça vous aurez un moment rien que tout les trois

María: Bonne idée ! Juan, t'es d'accord ? Juan ?

Mendoza: Et du coup tu vois

María: Je te parle Juan !

Mendoza: Et moi je parle avec Athanaos, ne me coupe pas.

María: Mais Juan !

Esteban: Papa, viens voir ! J'ai l'impression que tu es sur ce tableau.

Athanaos: Ah bon ? Je te laisse avec ta sœur, on reprendra notre discussion plus tard, ce n'est pas grave, dit-il en rejoignant son fils.

María: Bon, maintenant qu'il est parti tu peux m'écouter ?

Mendoza: Je discutais je te signale.

María: Oui mais il est parti.

Mendoza: Oui mais je

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'Isabella l'embrassa tendrement.

María: Eh !? C'est pas le moment !

Lorsque leurs lèvres se séparèrent, l'espagnole déclara:

Laguerra: Maintenant que j'ai toute ton attention tu vas m'écouter. Tu vas aller préparer le repas avec ton frère et ta sœur, comme ça vous passerez du temps ensemble, ça te va ?

Mendoza: Oui.

María: Parfait ! Aller viens, dit-elle en l'attrapant par le bras.


Mendoza: Et mon bisou ?

Laguerra: On verra ça plus tard, cuisinez bien !

Zía: Ils vont où ?

Laguerra: Ils vont cuisiner entre frères et sœur.

Zía: Ah d'accord. Et... je voulais vous demander, on repart quand pour aller chercher votre fille ?...

Laguerra: Je ne sais pas trop, il va falloir voir avec Mendoza mais je pense d'ici un ou deux jours.

MendoguerraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant