Chapitre 69

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PDV Mendoza:

Elle a raison... Je ne sais pas grand chose de mon frère et je n'ai jamais sauté sur l'occasion... Mais au lieu de ça j'ai été horrible avec lui... Plus je repense au moment que j'ai passé avec mes parents plus je me dis qu'Alvaro et María avaient été mis à l'écart... Je connais très bien la technique d'Isabella. Elle donne toutes les informations qu'il faut pour que tu te remettes en question et que tu finisses par culpabiliser après t'avoir rendu compte qu'elle avait raison... Il est vrai que je suis le centre d'attention de mes parents... Je ne sais pas ce qu'en pense María, mais ce serait intéressant d'avoir son avis... Je ne m'en rendais pas forcément compte avant qu'Isa m'en parle mais Alvaro et María sont souvent mit à l'écart lorsque je suis là. Certes María fait comme s'il ne se passait rien mais je suis sûr qu'elle se sent mal part rapport à ça... J-J'ai du mal à l'avouer mais Isa avait raison... J-Je devrais aller m'excuser auprès d'elle mais aussi auprès d'Alvaro et de María...

Isabella avait rejoint le petit groupe dans le salon.


Athanaos: Tout va bien Isabella ?


Laguerra: Oui ne t'inquiètes pas


María: Isa !! Oú étais-tu ?


Laguerra: Je parlais avec mon mari.


Père: Où est Juan ?


Laguerra: À l'étage, il a besoin d'être seul...


Esteban: On pourrait avoir encore des aventures de Mendoza et Isabella quand ils étaient petits ??


Tao: Oh oui, s'il vous plaît ??


Mère: D'accord, mais j'aimerai que Juan soit là.


La jeune Espagnole alla voir son beau-frère.


Alvaro: Je suppose que tu t'es embrouillé avec lui puisqu'il n'est pas là, c'est bien ça ?


Laguerra(chuchote): Embrouiller n'est pas vraiment le bon terme, disons que je l'ai fait réfléchir. Ne t'inquiètes pas, dit-elle en posant sa main sur son épaule, ma technique est infaillible, il devrait bientôt m'appeler.


Mendoza: Isabella ?


Laguerra: Tu vois ? Je te l'avais dit.

Je m'apprêtait à rejoindre mon capitaine lorsqu'Alvaro me retient par le bras.


Alvaro: Merci de m'aider, dit-il avant de me serrer dans ses bras.


Laguerra: Mais de rien, chuchotai-je à son oreille.

Dans la chambre.


Mendoza: J'ai bien réfléchi et... tu avais raison... Alvaro a souvent était mis à l'écart et rabaisser... Et María aussi...


Laguerra: C'est bien que tu t'en ailles rendu compte, maintenant il va falloir que tu en parles avec les personnes concernées...


Mendoza: J-Je vais le faire...


Le marin passa une bonne heure à parler avec son frère et sa sœur, lorsqu'ils revinrent auprès des autres ils étaient tous les trois très heureux.


Laguerra: Vous tombez bien, votre mère va nous raconter notre enfance à Juan et moi !


Alvaro: C'est qu'à 4ans c'était déjà un tombeur mon petit frère ! Dit-il en lui ébouriffant les cheveux.

MendoguerraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant