Chapitre 4

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Heyyy voilà le chapitre 4 bonne lecture<3
                                                                         

Pdv Hanaé :

-«Mikey est là» dit l'homme à la cigarette

Tous se tournent vers la porte où se trouve un homme de petite taille au cheveux blancs et courts avec un regard vide.

-«Ils sont tous là !»

Je me tourne vers mon amie et je la vois faire un sourire en coin tout en prenant des photos, les pleurs des hommes à genoux camoufle parfaitement le bruit de l'appareil.

Mikey, que j'identifie comme étant Manjiro Sano, s'avance et s'assoit vers le criminel à la clope.

-«Koko, je te laisse poser les questions» dit-il sans un regard pour les otages

Celui à l'allure de serpent, s'avance jusqu'au hommes par terre, leur enlève leur bâillons et commence à leur poser des questions tournant principalement sur de l'argent détournés, je ne comprends pas grand-chose, mais je sais que ces hommes à terre vont mourir peu importe ce qu'il répondrons.

Apres plusieurs minutes d'interrogatoire il leur remis leur bâillons en grimaçant de dégoût comme si il venait de marcher dans une crotte de chien.

Je remarque alors que l'homme du milieu viens de ce pisser dessus à cause de la peur, je comprends aussi que leur heure à bientôt sonner.

Haruchiyo Sanzu, qui été rester à l'écart pendant l'interrogatoire, ce place derrière les hommes condamné et sors une sorte de pilule de sa poche, il penche sa tête en arrière, lève le bras droit où il tien l'édit pilule, qui est sûrement de la drogue, et la laisse tomber dans sa bouche, il avale ensuite et hurle en reprenant son arme de la main droite et en courbant le dos en arrière :

-«LE MARTEAU DU BONTEN S'ABAT SUR LES TRAÎTRES !!»

Je me met à ricaner nerveusement en essayant d'être la plus discrète possible.

Emi, qui est encore en train de prendre des photos tourne violemment la tête vers moi en me faisant les gros yeux, grâce à l'agitation et aux pleures des condamnés je parviens à chuchoter doucement à l'oreille de mon amie:

-«On dirait qu'il fait une jojo pose»

Elle failli éclater de rire mais elle se mord violemment la lèvre inférieure pour ce contenir et m'ordonne de la fermer, sauf si je veux connaître le même sort que ce qui sont à genoux.

Je me reprends et regarde de nouveau le drogué, les otages s'agitent de plus en plus et le rose dit à l'oreille de l'homme du milieu en posant un doigt devant sa bouche:

Chuuuut!! On va écouter ce que Mikey va dire»

Après cette phrase Sanzu tourne son visage vers Manjiro, toujours assis et de dos en train de manger un taiyaki.

-«Tue les» dit simplement celui-ci

-«Ok» répond Haruchiyo

C'est à ce moment que je décide de tourner la tête, regarder des gens ce faire tuer dans la vraie vie n'est absolument pas comme regarder un film d'horreur, je sens que si je les observe je vais hurler et ce n'est absolument pas envisageable.

Emi, elle, continue de prendre des photos comme si de rien n'était, comme si tout est normal.

C'est maintenant que je réalise à quelle point c'est de la folie de l'avoir accompagné dans ce projet tordu, mais c'est trop tard pour faire machine arrière.

Trois coups de feu retentissent, me faisant sursauter et les pleurs s'arrêtent net.

Je me risque à regarder de nouveau et je retiens un haut le cœur quand j'aperçois les trois corps des hommes morts sur le sol et les flaques de sangs.

-«Pliez-vous à nos règles où on vous fume!» dit Sanzu avec un immense sourire sur le visage

Je détourne encore une fois le regard pour éviter de vomir et je ferme les yeux, Emi continue de prendre des photos, je mentirais si je disais qu'elle ne me fait pas peur, sa réaction est inhumaine mais je me doutais qu'elle n'allait pas prendre tous ces risques sans savoir ce qui allait se passer.

Débarrasse toi proprement des corps» dit une voix que je ne parviens pas à identifier vu que j'ai les yeux fermés, mais c'est une voix magnifique, presque apaisante, ce qui est complètement fou.

Malheureusement cette belle voix fût remplacer par une autre, plus détestable et agaçante:

-«Tu devrais les congeler et les briser en morceaux pour les donner à bouffer aux poissons»

Sans même ouvrir les yeux, je devine que cette horrible voix viens de l'homme que mon amie refuse de prendre en photo.

Mais une autre voix tous aussi agréable que la première malgré ses paroles me détend de nouveau :

-«Oubliez pas bande de chiens, morts à tous les traîtres, sans exception! C'est comme ça que ça marche, au Bonten»

Je sens quelque chose le long de ma jambe gauche, j'ouvre donc les yeux pour vérifier ce que c'est...et là, horreur ! Trois grosses araignées velus ce balades le long de ma jambe, étant une grosse arachnophobe je me met à paniquer, je tourne violemment la tête vers mon amie, qui est malheureusement encore concentrer pour prendre des photos.

J'ai la pire idée possible, jamais ne n'aurais dû faire ça, mais par la peur...je me met à hurler.


À SUIVRE...

The BontenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant