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Avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit lorsqu'on rentre chez moi, je plaque ma bouche contre la sienne dans un mouvement brutal en l'attirant vers moi, je m'en fichais parce que je ne voulais pas de douceur ni de lenteur. Elle gémit alors que je la soulevais lui débarrassant de ses talons avant de nous diriger vers ma chambre. Je la dépose délicatement et l'embrasse dans le cou. Elle s'arque et gémit alors que je la suçais et mordait.

— Ne bouge pas. Lui ordonnais-je alors qu'elle se dandinait pour retirer son pantalon, je lui lance un regard furieux alors qu'elle rougissait.

Je glisse mes mains sur les côtés de sa taille lui retirant délicatement son jean et sa culotte avant de le retirer complètement. Je commence à l'embrasser laissant une traînée le long de son ventre, je sentais ses muscles fléchir sous mon toucher. Je frotte mon nez contre sa hanche et l'embrasse doucement avant de l'embrasser vers le bas. Elle ouvre automatiquement ses jambes alors que je baissais la tête. Je passe ma langue sur sa chair, la goûtant alors qu'elle laissait échapper un profond gémissement.
Elle passe ses mains sur ma tête, agrippant mes cheveux. Je recule lui saisissant les poignets et l'éloigne de ma tête. Je me lève lentement et là regarde alors qu'elle avait les yeux brillants.

— Klara, dis moi oui. Dis-je dans un souffle.

Elle hoche la tête alors que ses lèvres se tordent en un sourire.

— J'ai envie de toi Élio. Faisons le.

Je regarde le sourire narquois apparaître sur ses lèvres alors qu'elle parcourait mon corps avec ses yeux. Elle se redresse et attrape mon t-shirt avant de me le tirer vers le haut, je lève les bras complètement en me débarrassant de celui-ci. Elle me repousse en me renversant sur le lit. Elle pose ses mains sur ma poitrine et lève ses yeux vers moi remplis d'émerveillement.

— Embrasse-moi, murmure-t-elle.

Je fais ce qu'elle me demande et l'embrasse doucement comme si toute ma vie en dépendait. On gémit tous les deux quand nos lèvres se rencontrent, une telle chaleur, une telle faim.
Je glisse mes mains le long de sa taille et caresse son dos, l'attirant davantage vers moi alors que je lui dévorait la bouche.
Elle s'éloigne pour respirer et commence à embrasser mon cou jusqu'à mon épaule puis ma poitrine. Je la laisse faire alors que mes muscles fléchissent sous ses coups de langue et ses baisers, elle descend vers mes abdominaux, puis embrasse mon érection à travers mon jean. Elle sourit ensuite et se redresse puis me retire celui-ci. Mon cœur battait la chamade à cause de ce qu'elle allait faire ensuite. Je gémis en attrapant ses cheveux alors qu'elle me prenait entièrement dans sa bouche.
Elle resserrait sa prise me laissant échapper un profond gémissement alors qu'elle taquinait et agitait sa langue sur le dessous.

— Klara. Soufflais-je en jetant un œil à ce qu'elle faisait. Elle lève les yeux vers moi et je laisse tomber la tête en arrière dans un faible grognement.

— Assez.

Seulement elle ne s'arrête pas, elle me reprend profondément et me suce, creusant ses joues. Mon Dieu, le plaisir était trop intense et j'étais sur le point de perdre tout mon contrôle. Je resserre ma prise sur ses cheveux et l'éloigne en entendant un halètement de sa part.
Elle se lève, et je l'attire à moi en me débarrassant des quelques centimètres qui nous séparaient alors que je prenais sa bouche une fois de plus. Je la fais descendre pour qu'elle s'allonge sur le lit et embrasse son ventre tout en caressant ses seins.

— Tourne-toi et mets-toi à quatre pattes, dis-je d'une voix rauque alors qu'elle ouvrait la bouche en grand. Fais ce que je te dis Klara. Dis-je en me levant.

Je me dirige vers la table de nuit et ouvre mon tiroir pour en sortir un préservatif.
Je déchire le paquet et l'enfile et m'installe derrière elle. Je déplace les cheveux qu'elle avait dans le dos et les regarde tomber sur le côté. Dieu, elle était superbe comme ça, ses épaules larges, sa petite taille qui s'évasait au niveau des hanches larges qu'elle avait et son joli petit cul. Parfait.
Je me penche en avant, posant ma main sur le lit près du sien ; j'embrasse et pince son épaule la faisant gémir alors que je me guidais vers son entrée. Elle halète en me sentant la pénétrer.

𝐄́𝐋𝐈𝐎 𝐀𝐑𝐂𝐇𝐄𝐑Où les histoires vivent. Découvrez maintenant