Polyamour

𝙍𝙚́𝙘𝙤𝙣𝙛𝙤𝙧𝙩

Ses mains, son souffle, son sourire, ses airs de psychopathe, toute sa personne ne répugne, la tête posée sur la vitre, je contemple les voitures qui défilent, esclave des gestes obscènes d'Izana, je reste impassible et je joue à la petite amie parfaite.

Moi : Dit, je pourrais continuer à travailler ?

Izana : Si tu veut, pour le Bonten c'est ça ?

Moi : Oui, mais je viendrais vivre avec toi.

Voilà à quoi j'en suis réduite pour eux, cependant Izana, si tu est devenu fou c'est bien à cause de ton obsession pour moi, alors je vais te rendre tellement fou, que tôt ou tard tu te suicideras par amour.

Izana : Hanma tu sait où ils sont ?

Hanma : Oui, tu veut que je conduise Sasha la bas ?

Izana : Non, dépose la, à une ruelle à côté, Kisaki déposera ta moto, quand à toi ma beauté, si tu parles de quoi que ça soit à Mikey ou à quelqu'un d'autres, je tue tes frères c'est clair ?

Moi : Tu n'était pas obligé de faire ça pour que je retombe amoureuse de toi, tu est vraiment très con Izana.

Le psychopathe pose sa tête sur mon épaule, il glisse sa mains sous mon soutien-gorge et commence à me malaxer le sein droit.

Dans le rétroviseur intérieur, Hanma me regarde furtivement, nos regards se croisent, Izana à côté pousse des gémissement de plaisirs, il enfoui sa main libre dans son pantalon qu'il vient de baisser et il se branle.

Ne quittant pas Hanma des yeux, je commence à jouir fort et érotiquement, je me lèche les lèvres lentement et j'ose un sourcil pour le narguer.

Hanma est une personne fière, il me lance un regard de défi, quand Izana me prends la nuque et enfonce son attribut masculin violemment dans ma bouche.

Je ferme les yeux, je réprimande une envie de vomir, j'ai envie de m'effondrer, pleurer dans les bras de mes frères, hurler de toutes mes forces, me droguer, baiser avec le premier venu pour oublier le fait qu'Izana prend un plaisir à me posséder.

Izana : Avale ! Sasha ~

Une larme coule, elle roule sur ma joue, j'avale sa semence, il me tire par les cheveux pour que je le regarde dans les yeux et embrasse mon cou en le mordant.

Izana : On ne sait jamais si quelqu'un ne te croit pas, bien nous sommes arrivés, je t'aime ma Reine.

Moi : Moi aussi petit démon ~

Non, je te hais de tout mon être, tu me donnes envie de vomir, en descendant de la voiture, en face de moi Kisaki sourit fièrement en me tendant les clefs de ma moto.

Kisaki : Bienvenue en enfer.

Moi : Tu devrait t'incliner quand tu as en face de toi ta Reine.

Kisaki : Pardon ?

Je souris méchamment, je tourne ma tête en direction de la voiture et je fais une mine boudeuse à Izana.

Il me regarde avec un air interrogateur et je pointe du doigt Kisaki.

Moi : Il ne veut pas s'incliner face à sa Reine, je suis triste Izana.

A ce moment précis, je me force à pleurer et en me voyant ainsi, il descend précipitamment de la voiture.

Derrière le dos d'Izana, je fais un doigt d'honneur à Kisaki, Izana le prend par les cheveux et le fait entrer dans la voiture.