Chapitre 28

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Elia

Ses mains descendent vers ma culotte et ses yeux, sont liés aux miens.
Il m'embrasse brutalement et son torse musclé se retrouve au dessus de moi.

- T'es si belle. Me dit Eros.

Il descend alors sa tête et celle-ci part s'égarer sur ma poitrine.

Sa langue lèche et mordille mes seins puis, pendant ce temps, sa main a retiré ma culotte et ses doigts se sont posés sur mon clitoris.

Je relève le bassin pour avoir plus de contact, mais il relève la tête et m'embrasse doucement les lèvres.

Ses yeux noirs, ses cheveux noirs et ses tatouages lui rajoute un charme et un sexe appeal incomparable.

Il est si beau.

Le rythme passionné du départ laisse place à des mouvements lents et savoureux.

Sa langue touche la mienne avec douceur et mon clitoris pulse encore plus fort contre ses doigts.

-Eros.. Je gémis en espérant qu'il comprenne ce que je veux.

Visiblement, il comprend, car ses doigts s'appuie plus fort et un cris sort de ma bouche.

Ses lèvres sucent maintenant mon cou quand je relève la tête et il plante ses yeux dans les miens. Puis, sans rompre le contact avec ses iris saisissants, ses doigts entrent en moi.

Je me relève brusquement à l'entente d'un bruit à côté de moi. Dans mon sursaut, j'ai failli tomber de mon lit.

Un réveil en douceur...

Je me reconcentre et une fois la lumière allumée, rien d'anormal ne me fait paniquer, alors je comprends que ça vient d'une autre chambre.

Pas d'intrus par ici.

J'éteins alors la lumière et fixe mon plafond, en espérant calmer le rythme cardiaque de mon cœur et les pulsations de désir de mon clitoris.

Je m'apprête à descendre ma main sous ma culotte, quand j'entends un gémissement de plaisir à côté.

Le temps que je réalise que ça vient de la chambre d'à côté, soit celle d'Eros, je suis déjà debout pour aller voir.

J'avais un long t-shirt et une culotte comme seuls vêtements.

Je sors ma tête de ma chambre et en voyant que personne n'est dans le couloir, je sors.

Ma curiosité me tuera un jour.

Avec toute ma concentration pour ne pas f ire de bruit, je fais deux grands pas et m'arrête devant sa porte.

Je n'entends plus rien alors j'ouvre doucement la porte.

Je suis complètement à l'aise. Mais le sommeil dont je suis sortie il y a quelque minutes, m'a totalement déréglé ma conscience.

Je suis carrément une psychopathe.

Mais, je veux juste savoir s'il y a bien quelqu'un là dedans.

Mais la bourrasque de chaleur me répond.

Sauf, qu'au lieu de simplement refermer la porte et me barrer, le désir entre mes jambes me pousse à en être sûre de mes propres yeux.

Je veux voir ce qu'il fait.

Je sait que ça parait absolument psychopathe, mais je suis guidée par une voix inconnue dans ma tête.
Ça ne me ressemble pas, même ma détermination me fait peur.

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