Chapitre 51

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Coucou, j'espère que tout le monde va bien !
Bon on se rapproche de la fin... ( plus que 8 chapitres ! ).
J'ai préféré faire un chapitre un peu plus "cool" que les autres pour aujourd'hui.
bisous 😚😚
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Elia.

- En tout cas, tu comptes pour moi Eros. Je murmure en l'embrassant sur l'omoplate.

Il pose son joint sur le rebord de sa fenêtre, se retourne vers moi et plante ses yeux noirs dans les miens.

- Qui l'eut cru... qu'Elia prononcerai ça un jour... murmure-t-il en souriant tendrement.

Je roule des yeux et me retourne, sentant le rouge me monter aux joues.

Mais il pose sa main sur ma hanche et me rapproche en me retournant vers lui.

- Où tu pars ? Il chuchote en me scrutant, de la panique brillant dans le fond de ses iris.

Il le dit avec un ton tellement plus doux, comme s'il avait vraiment peur que je parte.
Et je comprends pourquoi maintenant.

Je lui souris et me mets sur la pointe des pieds pour pouvoir embrasser sa joue.

- Nulle part.

Il me sert dans ses bras et m'embrasse doucement les lèvres.

Mais très vite, le baiser s'intensifie et mes jambes commencent à peser une tonne. Alors, il me soulève, et me porte pour poursuivre notre baiser.

- J'ai envie de toi... Il grogne en me pressant contre lui.

Je sens alors son sexe à travers son survet, dur contre mon moi.

Je déplace mes mains de sa nuque à ses cheveux, tout en traçant les tatouages qui se trouve sur sa peau mate.

Je me recule et l'observe.

- Qu'est-ce que t'attends alors ?

Il m'observe, puis au lieu de se retourner pour me déposer sur le lit, il se tourne et après avoir décalé son roulé, il me pose sur le rebord de la fenêtre.

- Pour ?
- Me faire l'amour. Je dis en le fixant la tête haute.

Comment ça a dérapé déjà ?

J'étais dans mon lit quand j'ai entendu le bruit dans sa chambre. Par conséquent, quand je suis arrivée, j'avais ma tenue de nuit. Je suis donc, presque nue. Enfin, j'ai simplement une nuisette en dentelle.

Il attrape soudainement mon haut et le remonte doucement par dessus ma tête. Une fois fait, il prends mes seins en coupe, puis s'approche pour les lécher, m'arrachant des gémissements bruyamment incontrôlés.

- Tes bruits me rendent fou, Elia. Il dit en passant de nouveau à mon cou, tandis que j'enlève rapidement ma culotte.

Il m'embrasse rapidement les lèvres et s'accroupît pour que sa tête arrive au niveau de mon sexe.

- Er-

Mais je m'arrête car son premier coup de langue me rend déjà folle.

Mes mains commencent à tirer ses cheveux et mes gémissement sont de plus en plus forts tandis que ses coups de langues sont de plus en plus profonds.

Il enchaîne en entrant deux doigts en moi.

- T'es si belle. Il chuchote en m'observant.
- Je pense que c'est aussi ce que les gens se disent. Je réplique en lui faisant remarquer qu'au bord de sa fenêtre, n'importe qui peut me voir.

Il grogne en fronçant les sourcils, l'idée semblant lui déplaire.

- En attendant, c'est mon nom que tu as dans la bouche quand tu jouis. Il sourit insolent.

Je m'apprêtais à répliquer mais son coup de langue lui donne raison, car je ne trouve rien d'autre à prononcer, que son prénom.

Il ricane et se redresse.

- T'es tellement mouillée...Dit-il semblant retrouver son sérieux.

Je l'approche de moi et l'embrasse furieusement, me fichant de ma cyprine qui fait briller ses belles lèvres.

Ses cheveux noirs, retombe en de belles boucles sur son front.

Il est si beau.

- Je l'étais même avant que tu me lèches. Je me moque en roulant deux yeux.
- Je sais. C'est justement pour ça que je le fais. Me répond-il en souriant.

Je ne trouve rien à répondre alors il redescend.

- J'aime ton goût. Dit-il, alors qu'il se redresse afin de baisser son bas.

Je prends son sexe dans ma main et commence quelques aller retours mais il m'arrête.

- J'ai vraiment envie de te prendre maintenant.
- Alors fais le. Je chuchote, en agrippant ses épaules.

Il hoche la tête et après m'avoir soulevé en posant ses mains sur mes fesses, il me pénètre. 

Son souffle se rompt et sa bouche s'égare dans mon cou puis descends vers ma gorge quand je renverse la tête en arrière.

Il accélère rapidement, et on a tellement envie l'un de l'autre, que quelques minutes plus tard, on jouit bruyamment à l'unisson.

Il referme vite la fenêtre et se retire de moi en m'embrassant.

- Putain... Il souffle.

Je pose ma tête contre son épaule et on reprend doucement notre souffle.

***

Après avoir pris notre douche ensemble et nous être préparés à dormir, on se pose sur son lit, nus, ma tête reposant sur sa poitrine et ses mains caressant ma cuisse et mon dos.

- Elia je te le promets, je te protègerais de tout le monde. Je vais tuer. Il dit fermement.

Je frissonne.

- Tu n'es pas obligé de tuer.
- Si. Quand ça te concerne, je suis obligé. Parce que je ne prendrais pas le risque de te perdre encore une fois. Murmure-t-il, plus à lui même qu'à moi, en baissant les yeux pour rencontrer les miens....

Je relève la tête et l'embrasse brièvement.

- .... Je n'arrive pas à te protéger. Mes sentiments de peur prennent le dessus. Alors je n'ai plus qu'une seule solution. Il souffle en m'observant.
- Je ne tuerais qu'en dernier recourt. J'ai déjà trop tué. Je marmonne puis je m'endors doucement, savourant les mouvements doux de ses doigts sur ma peau et bercée par son souffle lent et régulier.

***

- Continue ça... Il murmure tandis que ma langue lèche son gland.

Un réveil banal pour Eros et moi...

Je l'aspire dans ma bouche et commence à le branler, tout en allant et venant sur son sexe avec ma bouche.

- Putain Elia...

Je déplace ma main vers mon sexe, et commence alors à me toucher tandis que je poursuis sa fellation.

Il me repousse, je le lâche alors et braque mon regard désireux dans le sien, plus qu'enflammé.

Il me relève, me retourne, nous sommes maintenant inversés et il se trouve en face de mon sexe.

- Tu me rends vraiment timbré. Marmonne-t-il tandis qu'il agrippe mes cuisses et pendant qu'il me ramène à lui, donne ses coups de langues.
- Eros ! Je hurle, savourant sa langue sur mon clitoris. Prends moi ! Je hurle tandis qu'il accélère et que je sentais la jouissance arriver.

Je n'ai pas besoin de le dire deux fois, il se redresse, et en posant ses avants bras de part et d'autre de ma tête, il donne un coup de rein et me pénètre brutalement.

- T'es serrée... Il dit en contractant la mâchoire.

Mais je comprends vite que ça l'excite plus qu'autre chose.

Très vite, le lit commence à taper contre le mur, sous nos gémissements bruyants.

Mais alors que je m'apprêtais à jouir en me jetant sur ses lèvres, la porte s'ouvre.

Et merde...

Wind and RiskOù les histoires vivent. Découvrez maintenant