Et pourquoi pas ?

Chapitre 5 Un tour au café

Bon ba il c'est barré ... Après vus comment il était rouge de honte quand il c'est réveiller c'était prévisible. C'est déjà au moins la centièmes foie qu'Eiji soupir depuis son départ. Pourtant c'est pas la fin du monde, et c'est pas la premier foie qu'un gas ce barre à son réveil. Y en a même parfois qui ne nous adresse pas la parole ou il ce tire avant qu'on soit réveiller. Alors ça vas y a eu pire.

-Eijiro stop pitié.

-Hum.

- Tu vas pas déprimé pour un coup d'un soir. Ok il était vraiment bon au pieu mais y en aura d'autre!

-Kat's?

-Ouai quoi encore ?

- Tu l'as sentis aussi non ?

Et merde le sujet que je voulais évité. Bien sur que je l'es sentis, ces putain de papillon qui me bouffaient le ventre a chaque foie qu'il souriait. Sans parlé du visage d'Eijiro qui rayonnaient quand il posait les yeux sur lui. Mais non on peux pas revivre ça! Je ne veut plus le voir souffrir à cause d'un pauvre type soit disant mal baisé.

- Laisse Eiji... d'une on le connais pas, de deux on n'as pas son num, de trois on en a déjà parler et ça fait plus d'un ans qu'on à la paix.

-Kat's...

-MERDE! T'EN AS PAS EU ASSER AVEC LA RIBANBELLE DE CONNARD QU'ON C'EST TAPPER ?! La dernière foie tu t'es même...

-Je sais ... Et je m'en veux encore...

-Arête c'étais pas ta faute...

Un silence pesant c'étais installé durant plusieurs minutes. Je sais pas comment le réconforté, j'ai jamais été doué pour ça...

-Kat's ?

-Hum...

-Et si je te disais que j'aimerais quand même retenté notre chance... Avec lui...

Je lâche un long soupir, Eijiro à toujours était un grand romantique, toujours à tombée trop vite amoureux, et toujours des mauvaise personne à parement. On a pourtant réussi à rester juste nous deux pendant plus d'un an maintenant... Bon surtout grâce à nos tendance libertine qui comblais notre manque ...

- C'est une mauvais idée...

-Je sais.

- On sais même pas ou il vit...

-Je sais.

-Je te ferrait pas changé d'avis...?

Pour toute raiponce il m'offre un doux sourire, reflétant tout l'amour qu'il me porte. Comment lui dire non alors que je ne suis moi même pas convaincu de pouvoir résister si on recroise un jour ce buisson plus que sexy ... 

Je soupir à nouveau, m'approche de lui pour l'embrassé, il m'enlace entrouvrant les lèvres pour un baisé plus profond, affectueux et amoureux. Nous nous séparons à bout de souffle puis il me sourit de toute ses dents, j'y répond d'un sourire en coin levant les yeux ciel.

-Merci Chéri.

- Ouai ba cris pas victoire trop vite. On sais même pas s'il est célibataire, où il crèche ou même si on le recroisera un jour.

- T'en fait pas, tu me connais !

- Et bien justement ! Tu pourrais le traqué comme un psychopathe pour pas qu'il t'échappe et c'est bien flippant !

Ejiro explose de rire resserrent son étreinte. Le voir si heureux pour un simple espoir me fait un peux peur. Si l'autre gamin est en fait un profond connard il vas tombé de haut et je ne sais pas si ce n'est pas mon cas aussi ... Si cette foie ça ne marche pas j'ai bien peur qu'on ne puisse pas c'en relever, et pour ce qui est de notre couple ... Je ne sais pas...

***

Deux semaine on passé et aucune trace du chaton vert, Eijiro reste pourtant tout sourire ne perdant pas espoir de le croisé par hasard dans le cartier ou au alentour de la boite. Quand on est sortie du CocoCherry il a appeler le videur par son prénom, mais il n'avait pas l'air ami pour autant donc c'est surement un habituer des lieus. Enfin c'est ce qu'on espère. Nous y somme d'ailleurs retourné ce week-end, après tout pourquoi pas, c'est peux être un fêtard. Vus la tenus qu'il portait ça ne m'étonnerais même pas ! C'est peux être même un chaud lapin qui saute sur tout ce qui bouge... Bon ça par contre sa ne m'enchante pas du tout... Merde je me prend beaucoup trop la tête!

Aujourd'hui c'est notre jour de repos et nous voulions essayer ce nouveau café qui à ouvert il y a quelque semaines, On a fait un tour sur le site internet et il a l'air agréable, en plus malgré le froid d'octobre, le soleil nous réchauffe agréablement donc un café en terrasse pourrais nous faire du bien !

Nous nous retrouvons devant la devanture, les grande bais vitré nous laisse voir la salle de service et la terrasse surélever en bois sombre est très moderne. Les murs son recouvert de verdure en tout genre  encadrant les bais vitrés et l'enseigne de la boutique écrite façon calligraphie. "Forest Café", en tout cas l'ambiance extérieur colle parfaitement avec le nom. nous passons la porte faisant tinté une petite clochette. Un peux cliché mais j'aime bien.

Je balaye la pièces du regard quand Eijiro  pouce un petit cris aigus me faisant sursaute.

- Il t'arrive quoi!

Il me tourne la tête manuellement et mes yeux ce pose sur notre petit chaton perdu en tenus de serveur un tablier blanc entourant sa taille. Il est entrain de prendre la commende d'une table, un magnifique sourire au lèvre, riant joyeusement avec les clients. Sa tenus, bien plus couverte que ce dont on a pus profité, n'en met pas moins en valeur ses formes si parfaite.

Il relève la tête dans un " Bienvenu " qui c'étain au fils des syllabe quand son regard se pose sur nous. Son sourire tombe dans une expression de panique avant de devenir pâle comme un mort. Il regard autour de lui suppliant du regard ses collègues qui lui font non de la tête, il soupir et se force clairement à sourire en s'avançant vers nous.

- Bonjours messieurs, une table pour deux ?

Je regard Eijiro, il a l'air triste et blessé par l'attitude froide et impersonnel d'Izuku. J'avoues que je suis moi même un peux troublé par sa réaction. C'est peux être bien un connard sous son visage d'ange après tout.

-Ouai c'est ça, une table pour deux. En terrasse si possible.

-Bien suivez moi.

    Il nous fait remonté dans la boutique jusqu'à une cours pavé ce trouvant a l'arrière de celui ci. Un grand chêne trône au centre entourer de table et de chaise en bois et en fer forgé, de grand radiateur d'extérieur on était placé pour profité des lieux malgré la période automnale tout ça dans une ambiance apaisante créé par les rayon du soleil transpercent le feuillage orangé du chêne. Un vrais coin de paradis.

Il nous installe et prend notre commende avant de repartir comme une flèche. Je soupire comprenant que nos plants et nos espoirs venaient surement de s'éteindre. Le petit buisson reviens avec nos commandes nous souhaitant une bonne dégustation et s'éclipse de nouveau.

Eijiro prit sa tasse de café en premier et quelque chose d'étrange entra dans mon chant de visions.

- Et Eiji regarde sur ta coupelle !

Il prend le petit papier qui était caché sous sa tasse et le déplies, il lit ce qu'il contient et je voie son visage s'illuminé à nouveau. Bon en fait y peux être encore un espoir! Il me tend le papier et là je sent mon cœur battre bien trop vite pour une simple petite phrase griffonné à la vas vite.

Désolé peux pas être familier avec les clients.

Je finit dans une heures. Pourrions nous parlé ? 

  Je souris à mon tour regardant mon compagnon qui souriait toujours à s'en déboité la mâchoire. Bon plus qu'à espéré que cette invitation tourne dans le bon sens ...