Retrouver son frère.
C'est l'unique espoir auquel se raccroche Jia après la mort de ses parents.
Kim Jia est une jeune femme de 20 ans suivant des cours d'informatique à distance en raison de sa situation financière. Travaillant dans une supérette...
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~Le seul danger, c'est la bêtise ou l'incompétence.~
= Chapitre 17 =
Séoul, l'entreprise du Group Royal Samedi 31 Octobre 00:15
-Je vais te buter saekki !! -j'ai crié tout en poursuivant Joo-hyung dans les escaliers.
Portant une main sur mon abdomen afin de retenir la blessure qui s'ouvrait peu à peu, je fronçais les sourcils.
Après l'intervention de l'étudiante, Soo-min était venue en renfort pour me soigner mais je savais pertinemment que ni cette blessure et ni la mission n'était terminée. Je devais prendre à tout pris ces putains de documents.
Grognant dans l'effort, le bruit d'une grande porte résonna dans la cage d'escalier avant de constater que c'était le Yeongju qui venait de pénétrer le septième étages.
Continuant de m'approcher, ma main tenait fermement mon arme avant de pénétrer également l'étage de l'entreprise.
À l'entende des bruits de foulés, mes pas se sont directement dirigés vers la terrasse de l'entreprise avant de voir la figure du mafieux comme étant bloqué.
-C'est terminé Yeongju~ -j'ai parlé tout en pointant mon arme entre ces deux yeux.
-J'en suis pas sûr Bangtan~ -il a répondu tout en dirigeant les documents dans le vide.
Le Yeongju portait son bras à son épaule baignée de sang tandis que sa main tenait les documents au dessus du vide.
Serrant la mâchoire, je m'avançais discrètement vers le mafieux afin de lui retirer ces putains de papiers des mains.
Malheureusement pour moi, Joo-hyung lâchait les papiers dans le vide. Les documents étaient emportés par le vents glacial de cette soirée.
Courant en direction de la petite muraille en verre, me protégeant d'une chute. Mes iris cherchaient désespérément les documents du regards avant d'entendre des ricanements.
-Bien essayé Jungkook mais sois plus malin la prochaine fois. -il pouffait.
M'écartant du bord de la grande terrasse, j'attrapais brusquement le col du mafieux avant de le plaquer contre ces façades en verre.
-Y'aura pas de prochaines fois.
Pointant mon arme vers son front tandis que mon autre main tenait vigoureusement le col de sa chemise, mes iris colériques constataient un sourire s'afficher sur ces fines lèvres.
