Chapitre 17

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POV ANGELO

Je suis un con, j'ai laissé le désire prendre possession de mon corps, j'ai vu la peur dans ces yeux, et ça m'a fait fuir, je ne peux pas supporte de voir ça. Une semaine que je ne les pratiquement pas vu et parlé, mais je dois lui dire pour le gala qui aura lieu dans 2 jours.

Je vais pour prendre la route a fin de retourné à la villa, j'entends du bruit au niveau de la piscine et vois valentina dans l'eau et Maïtena sur un transat tout habillé, je sais que c'est dur pour elle de montré son corps, alors que c'est une putain de déesse.

-bonjour à vous mesdames, je vous annonce que nous sommes conviés à un gala ce samedi donc demain vous irez acheter vos robes.

Elles hochent la tête, Angelina sort et se dirige vers le jacuzzi un peu plus loin, je décide d'aller discuter avec Maï.

-tu ne te baigne pas demander-je.

Elle m'ignore complément et continue à lire sans me lancer un regard.

-si ce sont mes hommes qui te dérangent dit le moi.

-tu t'es enfin décidé à venir me parler tu ne me fuis plus cracha-t-elle.

-je ne te fuis pas, j'étais occupée.

-tu était occupé bien sûr, tu m'ignoré pourquoi au juste pour m'avoir touché.

- je n'aurai pas du te touché comme je l'ai fait c'était une erreur et s'a ne se reproduira pas.

- je vois dit-elle tristement.

Elle se leva et partie à l'intérieur de la maison.

°°°

POV Maïtena

Il a dit que c'était une erreur, les larmes commencèrent à coulait et je partis m'enfermé dans la salle de bain.

Une erreur.

Une erreur.

Mon corps est à ce point horrible pour qu'il me dise ça, je commence à frotter la peau de mon ventre et mes cuisses avec mes ongles jusqu'au sang, je détesté mon corps, je ne l'attire pas c'est pour cela qu'il est parti et ma ignoré, je dois le dégouté.

Quelqu'un toqua sur la porte, et sa voix resonna.

-Maï ouvre la porte s'il te plait.

-non laisse-moi.

-s'il te plait tesoro laisse-moi entrez.

-je ne veux pas te parler sangloter-je.

- je serai dans mon bureau si tu as besoin de quelque chose.

Je continué à pleurer en silence, après un bon moment je réussis à me calmée, il fallait que je mange, il fallait que je grossisse, je dois manger et je ne dois pas me laisser aller je ne suis pas faible. Je descendis à la cuisine.

-bambina qui a-t-il tu es toute pale vient je te donne quelque chose à manger.

- oui je sais, j'ai eu un petit coup de mou, enfaite je suis anémique, et je ne dis pas non, j'ai une faim de loup exagéré-je.

- ah mon enfant, je vais te préparer un bon repas.

Après mettre empiffrait comme jamais, je remonte dans ma chambre, je vais prendre une bonne douche et désinfecte mes blessures, putain ça fait un mal de chien.

-putain c'est quoi cette merde s'énerve-t-il.

Je sursaute et cache mon corps avec mes bras. Il fonce sur moi et attrape mes bras en analysant mes plaies.

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