Chapitre 20:

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Violetta ouvrit les yeux, une nouvelle fois dans les bras de Leon.

Elle sentait une main caressait son dos nu. Sa tête était posée sur le torse de Leon. Elle releva la tête. Il la regardait. Son regard était sérieux, soucieux,...

-Pourquoi? lui demanda t'il

-Pourquoi quoi? lui demanda t'elle en baissant les yeux.

A son tour, elle commença à caresser son torse.

-Pourquoi une fois sur deux tu me repousses? Pourquoi tu ne me dis pas la vérité? lui demanda t'il en la serrant.

Elle soupira. L'embrassa.

-Je t'aime.

Elle l'embrassa de nouveau.

-Je t'aime.

Elle l'embrassa encore.

-Je t'aime. répéta t'elle.

Elle ne pouvait plus s'arrêter de l'embrasser. Elle l'aimait tellement.

Il l'attrapa par les hanches, et la colla encore plus à lui. Mais sa main passa sur la blessure de cette dernière. Violetta se raidit.

Leon se dégagea et regarda le pansement de Violetta.

-Qu'est-ce...? commença t'il.

Mais il n'eût pas le temps de continuer que quelqu'un tambourina contre sa porte.

-Princesse! Princesse! Princesse!

Marianna.

-Princesse! Princesse! Princesse!

Violetta attrapa sa "tunique", l'enfila et entrouvrit la porte pendant que Leon passait un pantalon.

-Que se passe t'il ?

-Regardez!

Violetta attrapa le magasine que lui tendait Marianna. Elle faisait la première page en tant que Gone, et son identité secrète avait été révélée à tout le monde.

-Merde... souffla t'elle. Merci Marianna, vous pouvez disposer...

Elle referma la porte. Leon l'a regardait suspicieux.

-Je...

Mais elle fut de nouveau coupé.

-Violetta! Violetta! Ouvre la porte!

C'était Francisco.

-Cache toi! souffla Violetta à Leon. 

Ce dernier rampa sous le lit, de sorte à ne pas être repérer.

-Doucement, lacha Vilu en ouvrant la porte, pourquoi s'énerver sur ma porte de bon matin?

-Je,... que me vaut l'honneur d'être reçu dans ce... genre de tenue, demanda t'il.

Il avait des béquilles, et il était encore pâle.

-Oh, ne m'embêtes pas! Je, je dormais! Oh je suis si heureuse que tu aille bien, lui dit-elle en lui sautant dessus.

-Oui, oui je vais bien! Mais ne change pas de sujet! Je veux la vérité et rien que la vérité! Tu m'as déçu et beaucoup!

-Mais non! Bon, allez grand-frère, commença t'elle elle ne voulait absolument pas qu'il parle sachant que Leon était dans la chambre et qu'il ne savait encore rien pour Gone. Je,... Bon allez viens je meurs de faim. Allons manger quelque chose, et nous parlerons.

Puis, elle sortit de la chambre, suivie de son frère. Elle avait laissé le magasine sur la commode à l'entrée.

La porte claqua et Leon sortit de sous le lit. Elle lui avait encore échapper. Il finit de s'habiller, et s'apprêta à sortir, lorsque la couverture du magasine attira son attention. Il l'attrapa et lut la couverture.

En finissant de lire l'article, il était en colère. Et il espérait que c'était bien le dernier mensonge qu'il découvrait, auquel cas il allait pétait un cable!

Flash Back

Après avoir appris pour l'alerte rouge déclarait sur le château, Leon, Fédérico, ludmila, Francesca, Camila et Broadway avaient décidés de rendre visite à Facundo et Alba, afin d'avoir des informations, sans savoir que la malotru qui les persécutait y était également.

Ils sonnèrent. Personne n'ouvrit.

-Ils ne doivent pas être là! lança Fédé

Mais ils entendirent un bruit de verre qui se casse. Ils se retournèrent et virent une silhouette élancée habillée de noire s'éloignée les mains pleines.

Ils appelèrent la police afin de signaler un cambriolage.

Fin du flash back

***

Violetta avait échappé à son frère et se baladait dans les couloirs. Elle était lasse de mentir, lasse de tous ces mystères, et de tous ses problèmes.

Elle entra dans la cuisine, personne n'était là bizarre. Elle allait ressortir lorsqu'elle entendit des cris provenir de la chambre froide.

Inquiète, elle s'approcha vite, poussa la porte de la chambre froide.

-Il y a quelqu'un ? demanda t'elle inquiète.

La chambre froide était dans le noire, et en plus elle était grande.

-Il y a quelqu'un ? répéta t'elle

Elle n'eût pas le temps d'esquisser un geste de plus, que deux mains la poussèrent dans la chambre froide.

Elle tomba à genoux, et ne vit que la porte claquait. 

Elle était enfermée!


Violetta - La mort l'a changée!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant