Chapitre 13: Le retour à Seattle

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Bonne lecture mes chipies❤️


June:

Je suis dans ce placard de cuisine depuis cinq bonnes minutes. Le père de famille et ses filles sont dans le salon. Si je sors de cette cachette je tombe pile devant eux. Je commence à ressentir les murs se refermer sur moi.

Si je fais tout carotter maintenant, il va venir et me punir. Je dois tenir. Je suis entraînée pour ça. Je suis faite pour ça.

- Les filles, allez vous préparer on doit partir dans un quart d'heure.

Je les entends chanter un air qui me dit quelque chose. Je suis sûre de l'avoir déjà entendu quelque part.

Lyo !

Lyo m'a déjà chanter cette chanson.

Une heure ! J'ai survécu une heure dans ce putain de placard ! Je sors en faisant quand même attention qu'il n'y est bien personne.

Je vais quand même faire un tour dans la chambre des jumelles. On ne sait jamais, si j'avais des enfants, que je faisais partie de la mafia, et que je devais cacher quelque chose même avec un bureau sous sécurité, la première idée qu'il me viendrait serait de cacher des choses dans la chambre de mes enfants.

"Sais-tu pourquoi les enfants sont si incroyables ? Car jamais tu ne penserais qu'ils seraient capable de commettre un meurtre. Ce sont des enfants. L'innocence pure, en chair et en os."

Je me remémore toutes ses phrases sur les enfants et pourquoi il les aime autant. Vu qu'après il en fait des monstres dès leur jeune âge.

La chambre des jumelles est près de l'entrée. Plus vite je termine, plus vite je pars. Je suis ici depuis huit heures trente et il est bientôt dix heures.

La chambre est immense. Le métier d'avocat et faire partie d'une mafia paye bien. Plus les aides de la trahison.

Cette chambre est constituée de deux lits princesses. Un côté est rose alors que l'autre est bleu. Il y a des photos de poney sur le mur. Je fouille la chambre dans tous les recoins, tâte sous le lit, les placards, les cadres, les photos.

Près du dressing il y a un gros nounours qui fait peur, mais je fais abstraction de sa présence et cherche dans le dressing.

Il n'y a rien d'anormal.

Je fouille dans les jouets partout, mais il n'y a rien je sors de la chambre. Quand j'arrive à la porte d'entrée, une idée me frappe!

Le nounours !

Je retourne en arrière, fonce sur le nounours, le retourne et le regarde dans tous les coins. Il y a une fissure sur son pelage. Je mets ma main dedans fouille dans son corps, des souvenirs me remontent au cerveau c'est pas la première fois je fouille dans son corps mais cette fois si c'est de la mousse.

Je touche un truc dur, j'essaye de l'attraper au bout, je sens un fil. J'ai du mal à tirer, c'est lourd. Après ma bataille entre moi et le nounours j'arrive enfin à sortir l'objet du doudou.

Une clé et un téléphone.

Une clé et un téléphone ?

J'enlève la coque du téléphone et trouve un papier avec un numéro et un nom. Je prends en photo. Pour ce qui concerne la clé je la prends avec moi.


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- June tu as prit une clé ! Dit-il en hurlant au téléphone.

All and nothing for youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant