A Moi [NaLu] {Tome 2}

Chapitre 11 🍋

[PDV LUCY]

Je sais qu'il se bat avec lui-même actuellement. Je le sais car de temps en temps il me sert très fort les poignets puis il les desserre. Il me mord beaucoup les épaule, sûrement pour essayer de se contenir, encore. Les personnes normales, auraient peur de lui, de ce à quoi il ressemble physiquement la, maintenant. Mais pas moi. Je le trouve encore plus beau que d'habitude, plus fort, plus attirant. J'ai peut-être un problème, peut-être je suis sadomasochiste à aimer qu'il me fasse mal quand on couche ensemble, mais c'est mon amour pour lui qui fait que je ressent tout ça.

Il me sort de mes pensé romantique quand sa langue passe sur mon clitoris. Même si il as ces doigts planter dans mes cuisses pour m'empêcher de bouger, ces geste sont doux mais rapide.

Je penche ma tête en arrière en me concentrant sur ce que Natsu me fait. Ça fait un bien fou. Il s'arrête peu de temps avant que je jouisse et remonte jusqu'à ma tête en m'embrassant tout le corps au passage. Je sent ces canines quand il passe sur mes seins ce qui me procure des milliers de frissons. Il se tient au dessus de moi, en boxer encore, il me fixe alors que je le supplie du regard de me faire l'amour de suite en me mordant les lèvres et en me dandinant sous lui.

Rien n'y fait, il reste impassible, c'est comme si il réfléchissait.

[PDV NATSU]

Si je la prend maintenant, elle va souffrir comme jamais, j'attend quelques minutes histoire que mon envie de lui attraper les mains pour les bloquer au dessus de sa tête redescende mais avec elle qui se tord pour que je la comble enfin c'est compliqué. Je ferme les yeux et essaye de me concentrer.

Je sent ces mains fines parcourir mes bras, mon cou, mon dos et descendre à mon boxer.

Luce, si tu fait ça, ne te plains pas que tu ne peux plus marcher pendant des jours...

Je sent sa main glisser dans mon boxer et commencer ces vas et vient. Je ne peux pas m'empêcher de lâcher un grognement de plaisir.

-Arrête de réfléchir ou d'essayer de te tempérer. Je suis tout à toi, comme je l'ai toujours été.
-Et comme tu le seras toute ta vie.

J'ouvre les yeux et la vois sourire avec une étincelle malicieuse dans les yeux. J'enlève sa main de mon boxer a contre coeur, lui embrasse le dos de celle ci et la met au dessus de sa tête. Je fait cramer mon sous vêtement, pas le temps pour les formalités, j'ai une femme à satisfaire.

Je m'approche de son oreille et lui ordonne de garder ces mains au dessus de sa tête. Elle râle un peu mais obéi.
Je prend ces jambes et les écartes encore un peu pour bien être en face d'elle. Je la regarde un petit moment juste pour savourer cette vision.

Ma femme, totalement nu, à ma merci, obliger de garder ces mains au dessus de sa tête, ces seins qui pointent à cause du mélange d'excitation et de fraîcheur de la maison, ces jambes ouverte rien que pour moi..

Je lui attrape les hanches et rentre d'un coup en elle. Elle crie un grand coup et un râle sort de ma bouche. Sa fait tellement longtemps que je la veux... Je reste statique un petit moment juste pour savourer encore et encore cette sensation d'être en elle.

-Natsu..

J'ouvre les yeux et croise son regard plein d'envie, de malice et d'amour. Je m'allonge sur elle, l'embrasse et commence à bouger tout en continuant notre baiser. Elle essaye de mettre ces mains sur mon cou mais je lui bloque au dessus de sa tête. Je me recule pour la regarder. Elle gémis si fort que je me demande si je lui fait pas mal. Elle réussi à enlever ces mains pendant que je la contemplais. Vicieuse.
J'abandonne et la laisse ce défouler sur mon dos. Elle me griffe, me mord et s'agrippe à moi comme si sa vie en dépendais.

C'est ma vie qui dépend de la tienne Lucy.

-Va plus vite.

Je ralentis. Je la vois ouvrir ces yeux d'un coup en râlant. Je lui fait un clin d'œil et plonge ma tête dans son cou pour, moi aussi, la marquer de mon passage sur son corps. Je vais de plus en plus doucement, elle s'agrippe de plus en plus car elle sais ce qu'il va lui arriver.

Au moment où je suis le plus lent possible, je me redresse et la regarde. Je l'embrasse une dernière fois et lui chuchote à l'oreille :

-Retourne toi maintenant.
-Déjà ?
-Je t'ai demander ton avis ?
-A ce que je sache non. Mais je m'en fiche.
-Tu me cherches ?
-Peut-être.

Je me redresse, m'enlève d'elle, lui agrippe les jambes et la retourne d'un coup sec. Je l'attrape par les hanche et lui redresse son petit cul, non sans qu'elle lâche un petit cri de surprise. Elle se dandine en se collant contre mon bassin pour m'exciter encore plus, si c'est possible. Avec l'aide d'une de mes mains, je cherche l'entrée de devant. Je sais que c'est le bon car elle s'enfonce elle-même sur mes doigts.

Oh Luce, c'est bien trop fin pour te combler.

Je les enlève, pas totalement pour garder un repère pour être sûr que je ne me trompe pas (sous peine de me prendre une claque). Je me remet entre ces jambes et recommence mes mouvements d'avant. Je la vois s'agripper aux coussins et d'essayer d'étouffer ces cris.
Je me penche un peu pour lui dire de ne surtout pas se retenir d'hurler. Elle se laisse aller à mon plus grand plaisir et quelques minutes plus tard, je sent que je ne peux plus me retenir et je sais que Lucy est pas encore prête à venir.

Je glisse ma main comme je peut entre ces jambes pour venir jouer avec son bout de chair et ces cris qui résonnent dans la maison m'indique que je suis au bon endroit. Cependant, madame en as décidé autrement et m'enlève ma main pour la remplacer par la siennes, question de confort je suppose. Je reprend donc mes coups de reins sans relâche jusqu'à ce que je sente tout mon corps pris de spasme. Au moment où je lui donne le dernier coup, Lucy se libère elle aussi dans un gémissement que je n'avais encore jamais entendu.

Elle s'effondre comme si elle venais d'escalader une montagne et moi j'essaye de ne pas l'écraser en m'effondrant à mon tour, toute rage c'était transformée en millions de têtards qui sont à présent dans la jolie blonde sous moi.