Before.

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#FLASHBACK#


Je marche tranquillement, en route pour rejoindre mon travail d'été, celui de serveuse dans un petit restaurant, ce n'est pas l'emploie idéal mais c'est un petit boulot sympa pour avoir un argent de poche et pouvoirs m'offrir quelques bons trucs tel que des robes, de nouveaux jeans et tout ce qui va avec.

J'ai vingt ans et je suis des cours de littérature à l'université de Londres, c'est un peu comme ma passion. Je suis passionnée de lecture, j'écris souvent aussi mais je préfère lire, tout mon bonheur se trouvait dans les livres. Je n'ai pas de livres préférer, je lis un peu de tout. Tant que c'est bien écris, je me lance.

Londres peut être vraiment belle. Je m'y plais franchement, mais comme chaque ville de nos jours, il y'a un côté sombre si on peut dire ça comme ça. Enfin, ce que je veux dire par sombre, je parle bien sur du côté ou on y trouve des gangs, des voyou, des vendeurs de drogues, et donc des acheteurs, c'est un peu ce côté-là de la ville que nous, les gens du centre évitons, car parfois ça peut vraiment être dangereux de s'y aventurer.

Je vis seule dans un petit appartement depuis quelques mois. Mon père est mort quand j'avais sept ans et ma mère a sombrer dans l'alcool quelques mois après sa mort. Quant à mon frère, lui il a vingt trois ans et je le vois très rarement, il dit qu'il travaille dans un bar la nuit et donc il dormait le jour, ce qui fait que je ne le voyais que quelques fois, mais bon, que je le crois ou non, il ne me dira surement rien.

Des fois même je pense qu'il fait partie de l'autre côté, vous savez ce côté sombre de la ville, ou il y'a que des gangs, et bien des fois je me dis qu'il fait vraiment partie d'un gang, car il peut vraiment être violent des fois quand on le contrarie. Même avec moi.

Je viens d'arriver devant le petit restaurant ou je travaille. Je soupire car comme chaque jour, je vais devoir courir dans tous les sens afin de servir les clients avant qu'ils ne s'impatientent.

Je passai une main dans mes longs cheveux bruns avant de pousser la porte d'entrer et de me faufiler vers les vestiaires conçu pour les employés.

Je posai ma veste sur une petite chaise et prit un tablier, MON tablier, que j'enfilai rapidement, je déposai mon sac près de ma veste et sortis des vestiaires pour rejoindre la caissière : Johanna. C'est vraiment une fille très sympathique, je n'irais pas jusqu'à dire que c'est ma meilleure amie, car pour ça je dois lui accorder toute ma confiance, et j'accorde rarement ma confiance aux gens, je ne suis vraiment pas du genre qui s'attache à quelqu'un rapidement, non ce n'est définitivement pas mon genre.


**


Je fini de poser les derniers couvercles dans la cuisine pour qu'ils soient lavés et je repars dans les vestiaires pour reprendre mes affaires.

Je sors rapidement et la brise du mois de décembre me frappe subitement au visage, faisant voler quelques mèches rebelles sur mon front, je ferme ma veste et ajuste mon sac à mon épaule avant de faire quelques pas dans cette rue sombre de Londres, j'ai l'habitude de prendre cette rue, donc je n'ai rien à craindre.

Mes chaussures claquaient contre le carrelage du trottoir, faisant un bruit sourd dans un silence lourd. Mais bon, marcher me réchauffait un peu, mais pas assez. Vivement que j'arrive à mon appartement.

Une fois devant ce dernier, je pris mes clefs et cherchai la serrure en tapotant la porte avec ma main droite en vain. A la place ma main se posa sur quelque chose de dur mais pas assez pour que ce soit une porte, je fis parcourir ma main sur cette chose quand je remarquai qu'elle portait des... Vêtements ? Vraiment ? Mais qu'est-ce que c'est que ça ?

Une lumière éclaircit l'endroit et mes yeux se posèrent sur la chose que je touchais, qui était finalement un torse. Ma main rejoignit ma bouche pour ne pas crier, une personne se tenait devant moi et je ne l'avais pas remarqué. Je fis un pas en arrière mais cette personne me retint le bras pour me forcer à ne pas m'en aller.


« Hé. Écoute-moi bien petite, tu vas me suivre tranquillement et éviter de crier à l'aide d'accord ? » Lança une voix masculine : celle qui me tenait le bras.

« Je ne vous suivrais nulle part ! Lâchez-moi ! » Lâchais-je.

« Comme tu veux. » Dit-il avant de me faire tourner et de déposer un fin tissu sur ma bouche. J'essayai de me débattre mais rien à faire, cet homme était définitivement bien plus fort que moi.

Peu à peu, mes yeux n'arrivaient plus à rester ouverts, pire encore mon cerveau semblait être déconnecté, je ne voyais plus rien, je n'entendais plus rien, et je n'avais pas même la force d'articuler une phrase.


#FIN DU FLASHBACK#


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Voilà! Je sais que c'est court mais les chapitres seront de plus en plus long au fil du temps! ♥

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Kidnapping. L-TOù les histoires vivent. Découvrez maintenant