OS • You don't have to be so strong • DOVESSO

77 6 0
                                    

YOU DON'T HAVE TO BE SO STRONG
THEONETRUEQUEEN97

RÉSUMÉ
Quand Lesso perd sa canne, l'empêchant de bouger, Dovey devient inquiète.

NOTES
Donc, ceci est ma première fanfiction. Je ne sais pas ce que j'en pense, alors soyez gentil s'il vous plaît.

INFORMATIONS
Personnages : Leonora Lesso ; Clarissa Dovey
Catégorie : F/F
Fandom : The School for Good and Evil / L'École du Bien et du Mal

INFORMATIONSPersonnages : Leonora Lesso ; Clarissa DoveyCatégorie : F/FFandom : The School for Good and Evil / L'École du Bien et du Mal

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

YOU DON'T HAVE TO BE SO STRONG

Clarissa Dovey courrait. Enfin, c'était plus comme un sprint. Elle sprintait dans les couloirs de l'école du mal, sa robe volant derrière elle, frappant les Jamais alors qu'elle se dirigeait vers la plus haute tour de l'école.

Alors qu'elle arrivait au sommet de la tour, elle fut accueillie par une immense porte qu'elle ouvrit. Ce qu'elle a vu l'a arrêté dans son élan. Au centre de la grande pièce se trouvait une silhouette rousse recroquevillée sur le sol.

Elle se dirigea lentement vers la silhouette et s'agenouilla à ses côtés, mettant sa main doucement sur son épaule. « Lesso, Lesso, ma chère, est-ce que tu peux me regarder ? » a supplié Clarissa. Dame Lesso a lentement levé la tête et a rencontré les yeux de Clarissa.

Elle a laissé échapper un petit cri de surprise en voyant le visage de la femme. Ses beaux yeux verts étaient injectés de sang, son fard à paupières et son mascara normalement impeccables avaient coulé le long de ses joues.

Quand elle a parlé, c'était d'une voix rauque qui l'accueilli à la place de sa voix calme habituel. « Princesse, qu'est-ce que tu fais ici ? Pourquoi n'es-tu en classe ? » a demandé Dame Lesso en détournant les yeux.

« Eh bien, on m'a dit que personne ne t'avait vu depuis ce matin et que tu avais manqué tes deux premiers cours. Je m'inquiétais pour toi. »

À ces mots, Lesso se raidit et a essayé de s'éloigner de la doyenne du bien en haussant les épaules pour dégager sa main, mais le mouvement la fit gémir de douleur, faisant écarquiller les yeux de Clarissa avec préoccupation.

« Qu'est-ce qui ne va pas ? Tu es blessé... Lesso, parle-moi. » a demandé Dovey avec inquiétude. En regardant autour d'elle, elle a remarqué la chaise renversait près du bureau. La porte entrouverture l'a laissé apercevoir un gigantesque lit en bois massif avec des draps violet.

Dame Lesso était silencieuse, ne regardant toujours pas l'autre doyenne, essayant de cacher ses grimaces de douleur derrière ses longs cheveux roux qui tombaient de chaque côté de son visage. Ses épaules sont tombées et elle a poussé un soupir.

« Ma jambe. » elle a commencé, sans croiser son regard. « Ma jambe est bloquée, je ne peux pas la bouger. » elle a pris une inspiration tremblante. « Je ne trouve pas ma canne et je n'arrive pas à me lever. » a-t-elle expliqué, croisant finalement le regard de la femme.

Clarissa est restée silencieuse pendant un moment avant de parler doucement : « D'accord, laisse-moi t'aider à te relever. On va se coucher. » elle a regardé la doyenne du mal en attendant une réponse. Après un petit moment, Lesso a hoché la tête, rigide.

Quelques minutes plus tard, Lesso était allongée sur son lit, sa jambe tendue et soutenu par des oreillers tandis que Clarissa prenait une chaise qu'elle a placé à côté de son lit. « Depuis combien de temps étais-tu par terre ? » a demandé Clarissa en regardant prudemment la rousse en attendant une réaction de sa part.

Le silence a régné après sa question et Clarissa pensait qu'elle n'en obtiendrait aucune jusqu'à ce qu'elle réponde finalement : « Environ quatre heures. » a marmonné Lesso détournant le regard pour fixer son drap. « Tu peux partir maintenant, Princesse. Je n'ai pas besoin que tu planes autour de moi. Je demanderais au professeur Manley de prendre en charge mes classes. » a craché Lesso d'une voix dure.

« Quoi ? Ne soit pas stupide Lesso. Je ne vais pas te laisser toute seule alors que je viens d'apprendre que tu es restée seule, immobile pendant quatre heures. » s'est exclamé Clarissa, choquée et blessée du ton abrupt de son amie.

Lesso a levé la tête en direction de Clarissa. « Je n'ai pas besoin de toi Princesse. » elle a répondu. « Je n'ai besoin de personne. Avoir besoin de quelqu'un est une faiblesse et je ne suis pas faible. » elle a marmonné si rapidement que Clarissa a failli ne pas comprendre.

Elle a pris sa main avec hésitation avant de la poser sur la joue de Lesso pour que la Jamais la regarde. « Avoir besoin de quelqu'un n'est pas une faiblesse. Et la personne qui t'a dit ça t'a menti. Je suis ton amie, je peux t'aider en cas de besoin. » elle a rencontré le regard de Lesso, la suppliant de croire en ses paroles.

Il y a eu un petit silence avant que Lesso ne réponde d'une petite voix : « Je ne sais pas comment être ton amie, petite colombe. Je ne sais plus comment demander de l'aide à quelqu'un. Je suis brisée, inutile et paralysée. Tu mérites beaucoup mieux qu'une amie comme moi. » les larmes s'accumulaient dans le coin de ses yeux mais elle a refusé de les laisser couler.

Soudain, une douce odeur de noix de coco et de vanille l'a enveloppée alors que Clarissa la prenait dans ses bras, sa tête nichée dans le cou de la doyenne du bien. « Tu n'es pas brisée, inutile et paralysée. » a commencé Clarissa en reniflant. « Tu es la personne la plus forte que je connaisse, et pour être honnête, sache que personne ne sait instinctivement comment être une bonne amie. Ça s'apprend. »

Ses paroles étaient légèrement étouffées alors qu'elle enfouissait son visage dans la masse de cheveux roux indisciplinés de la femme avant de reculer et de déposer un léger baiser sur son front. Elle s'est allongée au côté de Lesso.

Pendant que Lesso est tombée dans un sommeil léger, Clarissa est restée éveillée, jouant avec une boucle de ses cheveux roux tandis que la colère bouillonnait intérieurement contre la personne qui l'avait blessé avec ces mensonges. Elle a essayé de se calmer pour Lesso.

En fermant les yeux, Dovey a commencé à s'endormir quand elle a senti Lesso enrouler son bras autour de sa taille. En souriant, Dovey a pressé un baiser dans les cheveux de Lesso tandis que le sommeil l'a rattrapé.

Recueil - Leonora LessoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant