Liaison sur contrat.

Un cauchemar

Coucou ! J'espère que vous allez tous très bien ! Ettt voilà un nouveau chapitre ! J'espère qu'il vous plaira ! N'hésitez pas à me dire vos avis en commentaires ça me fait toujours plaisir de vous lire !🤍

A très bientôt.

L. A.

————————————————————————

Pdv de Nelya :

J'étais accroupie par terre. Sans plus aucune force. Mon corps et mon esprit sont tout les deux plus qu'épuisés.

J'avais peur.

Je ne savais pas ce qui pouvait bien se passer.

Et s'il me frappait ?

Après tout pourquoi ne le ferait il pas. Alors que toutes ces pensées hantées ma tête.

Je ne m'étais même pas rendu compte que Nikolaï était à présent à genoux devant moi.

Alors je vous laisse imaginer la surprise que j'ai eu lors ce que j'ai relevé la tête et que je l'ai vu là, assis par terre, accroupi à mon niveau, la tête enfouit dans ses mains.

Alors que je pensais avoir tout vu, je fus choqué d'apercevoir une larme tomber.

Il pleure ? Pour de vrai ? Mais pourquoi ?

Automatiquement une envie de le consoler me prend.

Oui, il y a quelques instants en arrière j'avais peur, mais mon cœur ne pouvait pas supporter une telle image.

Il avait l'air si vulnérable ...

Alors c'est naturellement que je lève ma main pour essuyer les larmes qui coulaient sur ses joues. Chose que je fais une fois qu'il leva la tête.

Il avait l'air surpris , et c'est à ce moment-là, que je compris qu'il ne s'en était même pas rendu compte qu'il pleurait.

Moi: Tu pleures Nikolaï. Lui dis-je d'une voix qui je l'espère est rassurante.

L'incompréhension se lit immédiatement sur son visage.
Et je peux totalement le comprendre.
Il n'a pas l'air d'être du genre à montrer ses émotions, alors je n'imagine même pas pleurer devant quelqu'un...

Suite à mes mots, il ne scille pas pendant un long moment. Mais il se contentait de me regarder. Comme s'il était dans une sorte de trans.

Il était là, mais pas là en même temps. Bizarre n'est-ce pas ?

Mais personnellement, je le comprends, car ça m'arrive très souvent.

Alors que je m'étais perdue dans mes propres pensées, il se leva d'un coup. Je le suivi du regard.

Alors que désormais il me surplombait de sa hauteur, quant à moi, j'étais toujours là, assise par terre.

Mais je ne le resta pas longtemps étant donné qu'il s'est penché, et m'a saisi par le bras.

Merci, c'est très sympa.

Après ça, il ne dit plus rien, mais il commence à me tirer simplement vers la porte de sortie.

Et moi je me contentais simplement de le suivre, ne voulant pas l'énerver plus que ça.

Après tout à quoi ça servirait de m'attirer encore plus ses foudres ?

Je me suis assez mise dans le pétrin pour aujourd'hui, alors je pense qu'il est temps de prendre congé.

Pour le moment en tout cas.