Seulement une grande histoire d'amour entre Numéro Cinq et Numéro Huit, ou autrement appelée,
T/P.
/!\Avertissement /!\
Ce livre contient des propos violents comme:
*Sexe
*Meurtre
*Drogue
^^
Je ne suis pas responsable de se que vous lisez, mais de...
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-"Bon T/P je ne veux pas gâcher ce moment de bad girl mais comment je fais pour descendre moi?!" Me hurle Allison, toujours sur le toit.
-"Y'a une échelle derrière, je l'a prenais quand j'avais 5 ans et que je voulais de nouveaux habits." Idiote.
Je l'a vois descendre tranquillement et prudemment avec ses talons hauts. Une fois ses deux pieds de nouveau sur la terre ferme, elle marche rapidement vers moi avec de gros yeux.
-"Si tu refais ça je t'hypnotise pour que tu me laisses conduire. Compris?"
-"Oui chef. Maintenant grouille, je n'ai plus de patience." Je dis en entrant dans le magasin. Les autres ont repris leur sérieux et font leurs courses tranquillement et normalement.
-"T'en a jamais eu, T/P." Réplique t'elle.
-"Je suis une Hargreeves, je n'ai pas le choix d'en avoir un minimum." Je dit en regardant des fringues.
-"C'est pas pour les mecs ça?" Me dit-elle.
-"C'est plus confortables."
-"Je vois. Dit, est ce que Cinq t'as finalement dit il y avait quoi dans le futur?"
-"Rien du tout. Je vais essayer ces trucs, tu viens?" Je lui demande.
Elle hoche la tête puis me suit vers une cabine. J'essaie un boxer qui va me servir de short pour dormir, une chemise noir que je vais sûrement déchirer pour mettre avec une jupe, puis un jogging gris Nike et un top de sport bleu poudre.
Tout me va a merveille, donc je ressors avec de nouveaux vêtements et surtout un grand sourire fière venant de ma sœur.
-"Tu payes avec quoi? Tu n'as même pas de job je gage!" Me demande t'elle en me regardant de haut.
-"Avec ta voix, numéro trois." Je lui répond avec un sourire ironique.
-"T'es vraiment pas possible toi."
Je lui fait un clin d'œil puis elle se dirige directement vers le caissier.
-"Bonjour Mesdames. Avec quoi allez-vous—" Il n'a pas le temps de finir sa phrase que ma chère sœur d'amour lui jette son pouvoir dans ses pensées.
-"J'ai entendue dire, que tu nous laissais fuir sans payer. Enculé." Alors là, le bonus était spectaculaire.
Ses yeux deviennent blancs puis il nous tant le sac remplis de fringues. On se regarde puis éclatons de rire en se tirant d'ici. Je l'adore.
-"Maintenant, c'est à moi de décider le prochain magasin!" Me chante elle en se dépêchant d'y entrer.
Je dois avouer que c'est un très bon choix. Pour son style, bien sûr. Je ne crois pas avoir besoin de longue robe de bal...
