Chapitre 16

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Mon réveille sonne. Je cherche désespérément mon téléphone dans le noir pour l'arrêter. Je fais tomber des trucs de la table de nuit et le trouve enfin. J'arrête le réveil. Il est 7h00. J'entends grogner de l'autre côté du lit. Je me retourne pour voir Viktor allongé sur le ventre en train de dormir. Il s'est étalé de tout son long et vu comment son bras est étendu de mon côté, il devait me faire un câlin avant le réveil.

Je n'en reviens pas de comment tout est allé si vite ces deux derniers jours alors qu'on a mis tellement de temps avant de se voir.

Son dos est magnifique. Je descends mon regard jusqu'à ses reins. Je soulève le plus discrètement possible la couverture pour pouvoir admirer ses fesses. Je vois l'ombre des ses deux rondeurs musclées et j'en ai l'eau à la bouche.

Ah, la journée commence bien.

Je me lève doucement et vais rejoindre ma commode. Je choisis quelques vêtements dans la pénombre. Je sors des sous-vêtements, une minijupe et un chemisier. Je me sens d'humeur sexy aujourd'hui. Je me dirige ensuite vers la salle de bain pour me préparer.

VIKTOR

J'entends de l'eau couler au loin. Je sors petit à petit de mon sommeil. Je cherche Roxanne en tatonnant du bras l'autre côté du lit mais il n'y a personne. Je me redresse et prends mon téléphone. Il est 7h15. Je suppose que Roxanne est sous la douche. On est en semaine, elle doit probablement aller travailler.

Je vois que j'ai un message de Connor. Je lui ai confié le bar hier soir. Il m'explique que tout s'est bien passé et que les gars acceptent mon plan. Bien. Je vais pouvoir mettre les choses en place. D'ici quelques jours ça devrait être bon. Je repose mon téléphone et je me rallonge dans le lit. J'avais pas forcément prévu de dormir ici au départ. Faut croire que mon chaton sait y faire...

La porte de la salle de bain s'ouvre et je la vois sortir déjà tout habillée. Elle est incroyablement sexy.

— Bonjour, me dit-elle alors que j'ai encore les yeux écarquillés.

Je m'adosse à la tête de lit et passe mes mains derrière ma tête.

— Booonjour chaton. Après t'avoir vu nue, je ne pensais pas que tu pourrais encore autant m'exciter en étant habillée.

Elle rigole. Elle est mignonne... Elle ne le sait pas encore mais elle est déjà tombée dans mes filets.

— Je dois aller travailler, me dit-elle en mettant des boucles d'oreilles qu'elle prend sur sa table de nuit. Mais te presses pas, tu n'auras qu'à bien claquer la porte en partant.

— Parce que tu crois que je vais te laisser partir ? lui dis-je avec un sourire.

Je retire la couette pour lui montrer tout l'effet qu'elle me fait. Elle est immédiatement attirée par mon érection déjà puissante.

— Je suis déjà en retard, Viktor.

Pourtant elle ne me lâche pas du regard. Je la tiens.

— Et si je t'y emmène en moto ? je propose.

Elle hésite.

— Dans ce cas... oui, je pense avoir encore un peu de temps...

Bien. Je lui prends le bras et l'attire vers moi. Je l'embrasse sauvagement, prenant toutes ses lèvres. Elle est assise sur moi, sa jupe remonte sur ses hanches. Je glisse une main pour atteindre ses dessous. Elle est déjà mouillée, ça a traversé le tissus. C'est tellement excitant. Je mets mes deux mains sur le côté de sa culotte et tire sur la couture. Elle se déchire. Je fais la même chose de l'autre côté et enlève ce bout de tissu inutile.

— Hey, proteste-t-elle contre mes lèvres.

— Elle me gênait.

Elle frotte son sexe contre le mien et ça glisse tellement que je suis à deux doigts d'entrer en elle sans le vouloir.

Je défais les premiers boutons de son chemisier et tire son soutien-gorge vers le bas pour faire ressortir ses seins. Le soutien-gorge les redresse vers le haut. Je les prends à pleine bouche et elle gemit.

Je me penche et d'une main, je cherche mon pantalon au sol. J'y ai mis quelques capotes dans la poche hier soir avant de partir du bar. J'en trouve une. Elle se redresse pour que je puisse l'enfiler.

La voilà maintenant qu'elle plane au dessus de ma bite qui attend impatiemment. Lentement elle s'abaisse. Elle halete de plaisir quand mon gland glisse dans ses profondeurs. Je saisis ses cuisses, mes doigts s'enfoncent dans sa chair et la tire vers moi pour que je puisse la remplir complètement. Sous le plaisir, je gémis et rejette ma tête en arrière.

Elle veut reprendre le contrôle. Elle se relève jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que la pointe de ma bite en elle et s'abaisse une nouvelle fois. Elle fait glisser ses ongles sur ma poitrine pendant qu'elle renouvelle l'opération plusieurs fois. Elle change d'inclinaison et accélére le rythme. Elle va jouir, je le sens. Quelques secondes plus tard, elle hurle de plaisir sur moi.

Putain, la voir comme ça... c'est le meilleur. Puis elle s'effondre sur mon torse.

— Bien, à mon tour, lui dit-je en passant mes bras autour d'elle.

Puis je plante mes pieds dans le matelas, soulève le bassin et je la pilone dans un rythme effréné. Elle laisse de nouveau échapper un cri et je l'accompagne pendant que je jouis au plus profond d'elle.

On s'effondre tous les deux, haletants. On reste un instant comme ça le temps de reprendre nos esprits. J'aimerai rester plus longtemps mais je dois l'emmener à son travail puis j'ai aussi pas mal de boulot aujourd'hui.

— C'est malin, mon chemisier est tout froissé maintenant, me dit-elle en souriant.

Je souris et l'embrasse.

— Tu m'as cherché, lui dis-je avant de me redresser.

Je traverse la chambre pour aller dans la salle de bain. Je suis encore à poil et je sens qu'elle me mate. J'adore ça.

Je rentre dans la pièce. Une vraie salle de bain de nana, des produits en vrac partout. Des vêtements par terre. En voyant ça et le reste de son appart, je me dis qu'elle a pas l'air très ordonnée. Faut bien que mon chaton ait des défauts.

Je me lave et me rhabille avec mes fringues de la veille puis je sors de la chambre. Elle est dans le salon et finit son petit déjeuner. Je remarque qu'elle s'est changée pour enfiler un jean et un haut avec un profond décolleté. J'aime bien mais ça ne bat pas sa minijupe. Voyant que je la mate, elle me précise :

— Vu que tu dois m'emmener en moto, ça sera plus pratique.

— Exact. Allez viens, on y va.

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