Chapitre 83 : Plutôt chien ou chat ?

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Merci de suivre cette histoire. 

Bonne lecture

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   POV Stella

   - Angelo rend moi cette putain de télécommande avant que je te la fasse manger !

   - Nope. C'est mon tour.

   - Non, il me reste encore 10 minutes !

   - 10 minutes ce n'est rien, tu n'auras même pas le temps de regarder que ce sera finit.

   - Non, mon épisode n'est pas fini et tu le sais très bien !

   - Tu parles d'un épisode ! Elena est une cruche voilà et Stefan essaie de faire le gentil alors qu'on sait tous qu'il est pire que Damon.

   - Je m'en fiche. Rends là moi tartiflette !

   - Arrête de m'appeler comme ça !

   - Tu n'avais pas qu'à manger la moitié de ma tartiflette quand l'infirmière m'avait amené à la douche !

   - Elle n'avait pas qu'à être sous mes yeux aussi !

   - Tu n'avais qu'à te retenir !

   - Après un mois sans manger, crois-moi que j'ai du mal à me retenir.

   Un mois sans manger. Que veut-il dire par là ?

   - Comment ça un mois sans manger ?

   - Euh... non, laisse tomber, c'est une connerie. Je n'ai pas réfléchi.

   Vu le sentiment de peur qui m'envahit, j'ai la sensation que ce qu'il vient de dire est vraie. Je le sais au plus profond de moi sans avoir de preuve de ce qu'il s'est vraiment passé ces derniers temps.

   Parfois, il m'arrive de faire des cauchemars. Je rêve que je suis assise sur une sorte de siège dans le noir le plus totale et je ressens une douleur que je ne saurai décrire tellement elle est forte, comme si un camion m'avait roulé dessus. Et cette peur qui reste collée à moi après mon réveil... ça me terrifie.

   - Tu mens mal Tartiflette, dis-je en essayant de détendre l'atmosphère en voyant l'expression triste sur le visage de mon amie, ce qui me vaut un lancer de coussin que j'esquive de justesse et qui atterrie sur la tête de Aurélio qui vient de passer la porte.

   Quand l'oreiller tombe par terre et que je vois l'expression de l'homme, je me tourne pour regarder Angelo et nous éclatons de rire.

   - Qu'est-ce qui se passe ici ?

   Mon amie arrête de rire pour regarder celui-ci.

   - Et toi ? Qu'est-ce qu'il fait ici lui ? dit-il en pointant du doigt un beau doberman noir et marron.

   - C'est un cadeau pour toi, me dit l'homme tout en lâchant le chien qui saute sur mon lit pour me lécher le visage.

   - Coucou toi, dis-je avec une voix gaga tout en le caressant.

   - Pourquoi tu ne lui as pas pris un chat Aurélio, sérieux ! Tu sais très bien que je n'aime pas les chiens.

   - Parce que les chiens, c'est mieux.

   - Non les chats, c'est mieux, ils ne bavent pas eux.

   - Pourquoi tu n'aimes pas les chiens ? demandais-je à Angelo.

Si je l'avais su...je ne l'aurai jamais cruOù les histoires vivent. Découvrez maintenant