Chapitre 77: Une revanche plus que satisfaisante

317 23 4
                                    

   TW scène violente.

Hello tout le monde, je tiens à prévenir que ce chapitre comporte une scène assez violente qui ne convient pas pour les jeunes et les personnes sensibles à la torture. 

Voilà, j'espère que le retour d'Aurélio vous plaira.

Je vous souhaite une bonne lecture ;)

***********************************************************************************************

   POV Aurélio

   Ça y est, on les a enfin trouvés. On a réussi à récupérer les images des caméras qui avait étaient piratés par un vrai professionnel, ce qui nous a fait perdre un mois à retrouver toutes les images de toutes les caméras dans la résidence et au aux alentours. De là, on a pu enfin voir, la tête des hommes qui ont assommé Angelo et endormie Stella lors de leur enlèvement. Il m'a fallu un jour entier pour savoir à qui appartenait ces hommes et après une nuit sans sommeil, j'ai enfin trouvé.

   Je rassemble mes hommes et leur fait le résumé du plan une dernière fois et sans attendre, je saute dans la voiture avec François à mes côtés et démarre le moteur pour partir à pleine vitesse.

   Ils n'attendront pas une minute de plus et je ne veux pas être séparé d'elle encore une seconde, ça m'est devenu tellement insupportable, que je n'en dormais presque plus.

   Je roule au-delà des limites autorisés, mais je n'en ai rien à faire, il faut les libérer au plus vite. Qui sait ce qu'ils ont endurés avec ce fou ? Surtout Stella et ça me ronge de l'intérieur, car elle était présente quand j'ai collé une balle en pleine tête à ce type parce qu'il l'avait insulté.

   Personne n'a le droit de l'insulté et surtout pas de la torturer et si j'apprends que ce fils de pute l'a touché, je vais lui faire subir les pires sévices qu'il soit. Je ferais de lui un exemple pour tout ce qui toucheront aux personnes que j'aime !

   Je double les voitures, mais je vais toujours trop lentement à mon gout, alors je passe à la vitesse supérieure en montant jusqu'à 200 km quand j'atteins les routes vides de campagne.

   Je vois François s'accrocher à la portière pendant que je fonce sur le bitume.

   Normalement, il faut deux bonnes heures pour arriver à la planque de ce type, mais je ne compte pas mettre autant de temps pour les atteindre. Il n'en est pas question.

   Les images d'eux complétement en sang apparaissent sans cesse dans mon esprit, ce qui me fait accélérer de plus belle.

   - Tu devrais ralentir.

   - Non.

   Hors de question que je ralentisse pour attendre encore. On en a déjà perdu beaucoup trop de temps. Un mois. Un putain de moi, qu'ils croupissent là-bas ! C'est trop. Beaucoup trop pour eux. Qui sait s'ils ne sont pas déjà morts ?

   Je frappe le volant de ma main.

   S'ils sont morts, je ne réponds plus de mes actes. Je massacrerai tout le monde.

   Angelo, il vaut mieux pour toi que tu ne sois pas de l'autre côté parce que je viendrais te chercher par la peau du cul pour te ramener !

   Et ça vaut aussi pour toi Stella parce que ta place n'est pas là-bas, mais avec moi !

   - Tu devrais ralentir car si on a un accident, on ne pourra pas aller les aider, surtout si on est morts. Puisqu'à cette vitesse, je doute qu'on survive.

   Il a raison, même si je ne veux pas l'écouter, mais il a raison, alors je ralentis tandis qu'il se détend dans son siège.

   - T'aurai dû veiller sur elle, dis-je d'un ton sec.

Si je l'avais su...je ne l'aurai jamais cruOù les histoires vivent. Découvrez maintenant