Chapitre 45 : Attaquer c'est bien, mais ce défendre c'est mieux

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  Bonsoir à toutes et tous, à partir de ce soir, les chapitres serons plus agréable à lire grâce au correcteur de faute qui en élimine au moins 90%. C'est à dire beaucoup, vue le nombre de faute que je fais par chapitre.

Voilà, j'espère que ce soir vos yeux seront apaisés et ne saignerons plus devant mes chapitres.

Bonne lecture ;)

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    Après notre discussion, nous avons commencé l'entraînement. Il m'a appris a arrêter un coup de couteau et les nombreuses façons dont il ne faut pas faire: comme attraper le poignet, car l'agresseur peut bouger la lame sur le coté pour venir te couper sur le côté de l'avant-bras ou alors qu'il ne fallait pas attraper son poignet avec ses deux mains sous peine que l'adversaire recule la lame et nous coupe les mains.

   Pour bien paraît un coup de couteau, il faut attraper son poignet, mais aussi au niveau du biceps pour pouvoir éloigner le plus possible le bras loin de soi. Vu que je suis blessé, je pars le coup en tapant mon poignet contre son poignet dans la direction opposé de moi.

   Depuis une bonne vingtaine de minutes, j'évite encore et encore les coups pour en prendre l'automatisme.

   Selon le mafieux, il faut que ça devienne un automatisme.

   J'enchaîne encore et encore les évitements jusqu'à que Aurélio me dise d'arrêter.

   - Bien, maintenant fait moi tomber.

   - Tu es trop lourd.

   - Comme 90 % de tes adversaires.

   Il marque un point.

   - Comment je peux faire ?

   - Réfléchie par toi-même, je ne pourrais pas toujours être là en cas de danger.

   Il se remet en position d'attaque avec le couteau de combat dans la main droite pendant que moi j'essaie de réfléchir le plus vite possible à une solution.

   - Fait-moi tombé Stella.

   - Je réfléchis !

   - Réfléchie plus vite, tu n'auras pas autant de temps quand se serra quelqu'un d'autre devant toi.

   - Je sais !

   - Alors passe à l'action.

   Le derrière des genoux, c'est ça qu'il faut que je vise.

   Il essaie de me mettre un « coup » de couteau, mais je tape mon poignet gauche contre le sien que j'éloigne de mon corps et lui assène un coup de talon dans le creux du genou droit.

   Il pose son genou droit sur le sol et je profite de cet instant pour le lâcher et de le pousser avec mon pied dans son dos pour qu'il s'écroule par terre à plat ventre.

   - Pas mal, vraiment pas mal, dit-il en se relevant. Dans ce scénario-là, soit tu pars en courant et tu prends le risque qu'il te rattrape, soit tu lui tranches la gorge. Personnellement, j'opte pour la deuxième option.

   - On verra sur le moment. Ce qui me donne le plus envie, dis-je avec humour.

   Je n'arrive pas à croire que j'ai fait un enchaînement pareil même si je sais que Auélio s'est laissé faire, je suis quand même fier de moi et tout ça avec un bras. J'imagine que nos nombreux entraînements commencent à payer. Enfin !

   - Maintenant, on va passer à l'attaque, dit-il en mettant un gilet de protection.

   Essoufflée, je demande :

Si je l'avais su...je ne l'aurai jamais cruOù les histoires vivent. Découvrez maintenant