Chapitre 26

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   La nuit n'a pas était fructueuse pour ma part. Les cauchemars n'ont pas cessées de s'arrêter et je n'ai pas réussi à dormir par la suite, jusqu'à ce que François vienne me chercher pour que je puisse m'entraîner.

   Le seul point positif, c'est que les cachés ont cessaient de faire effet et je suis déjà plus énergique que hier, même malgré le peu de sommeil que j'ai réussi à avoir.

   Une fois dans la salle d'entraînement, Aurélio m'attends déjà sur le ring.

   - Salut.

   Je ne répond pas car je lui en veux toujours et qu'il reste toujours un connard de tueur.

   Je monte sur le ring pour le rejoindre.

   - Aujourd'hui, on va travailler ton contrôle sur ta colère.

   Géniale.

   - Toi tu te protégera, pendant que moi je t'assènerai des coups.

   - Je vois que cette exercice t'avantage plus à toi qu'à moi.

   - AH, elle parle, dit-il avec son petit sourire en coin.

   Je lui souris faussement avant de me mettre en défense.

   - Tu es prête ?

   - Vas y, que l'on en finisse.

   - Je suis loin d'en avoir finit avec toi Stella, dit-il en tapant un premier coup sur mes points, puis sur mes bras à une petite intensité.

   - Alors, qu'est-ce que cela t'as fait de savoir que ton frère est comme moi ? Dit-il en se rapprochant de moi.

   - Rien car il n'est pas comme toi, dis-je d'un ton sec avant d'esquiver son coup en me baissant.

   - Tu es sûr ? Pourtant c'est un mafieu comme moi.

   - Ce n'est pas un tueur ! Crache-ai-je en continuant d'esquiver.

   - Tu te trompe sur ce coup là.

   Sa phrase me déstabilise et je me prend un coup dans le flanc, assez fort pour que j'ai un petit bleu.

   Si il continue comme ça, je vais finir par m'énerver. Mon frère ne tue pas.

   - Tu mens !

   - Pourquoi je mentirais ?

   - Parce que tu es un mafieu et que tu n'es pas une bonne personne.

   - Ton frère ne l'ai pas non plus pour info.

   - Arrête, dis-je en essayant de lui asséner un coup dans son flan droit qu'il évite très facilement.

   - Tu n'es pas censé attaquer.

   - Et tu n'es pas censé parler de mon frère.

   On se tourne autour, moi en défense et lui en attaque.

   - Tu ne veux pas le connaître ?

   - Je le connaît déjà !

   - Non, tu ne sais plus qui il est.

   Je baisse ma garde pour lui faire face.

   - Tu te prend pour qui à dire que je ne le connais plus ? C'est mon jumeau, je le connais bien plus que toi !

   Sans m'y attendre il me maîtrise, me prenant mon bras gauche pour le coincer derrière mon dos et me penche le dos en arrière par la même occasion. Je me retrouve dos à lui et je l'entends me chuchoter à l'oreille :

Si je l'avais su...je ne l'aurai jamais cruOù les histoires vivent. Découvrez maintenant