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PDV Presnel :

Je cours jusqu'à la maison de Julian, je cours le plus vite possible. J'espère qu'il ne c'est rien fait de mal, à cause de moi... j'ai honte de se que je lui ai dit, il ne mérite pas d'entendre ça, c'est sûrement le plus gentil, le plus attentionné, le plus doux, des hommes que j'ai pu avoir. Je refuse de le perdre, je ferais tout pour le récupérer, tout pour qu'il me pardonne. J'arrive devant la maison de Julian, je reste devant sa porte pendant 2 minutes, hésitant à sonner ou pas, au final je sonne, je dois assumer mes actes.

Julian : Qu'est-ce que tu me veux Presnel...

Mon Dieu, il a l'air dépité, détruit, ses yeux sont rouges et sa voix est plate alors qu'habituellement elle est tellement enjoué.

Presnel : Je peux rentrer ?

Julian : Non. Je ne veux plus de toi chez moi.

Presnel : Je peux quand même m'expliquer ?...

Il est dur avec moi et il a raison, je le mérite amplement.

Julian : J'écoute toujours.

Ok, c'est le moment de lâcher ma meilleure impro ! Je dois pas me rater !

Presnel : *inspire expire* Julian, tu es l'homme le plus attentionné, le plus gentil, le plus doux, le plus compréhensif que j'ai pu avoir. Je refuse de te perdre, je parcourais le monde pour toi, je décrocherais la lune pour ton sourire. Je donnerais ma vie pour la tienne.
Je t'aime, j'aime tout de toi, ton sourire, t'es yeux qui s'illumine à chaque «je t'aime». J'aime ces yeux innocents remplis d'amour que je vois tout les jours. J'aime ton humeur du matin, quand tu boude car tu n'arrives pas à te coiffer, mais aussi quand tu es émerveillé car t'es cheveux se coiffe tout seul. J'aime t'es innombrables qualités, mais j'aime aussi t'es défauts. J'aime quand tu es jaloux parce que quelqu'un s'approche trop de moi, j'aime cette jalousie qui me fait réaliser combien je t'aime.
J'aime me réveiller le matin et te voir endormi à côté de moi, j'aime les moments où je réalise que j'ai de la chance de t'avoir dans ma vie. J'aime ton odeur sucré, j'aime passer chaque jour de ma vie avec l'homme que j'aime et que j'aimerais jusqu'à ma mort. J'aime t'aimer un peu plus chaque jour.
Je t'aime Julian Draxler. Je t'aime comme je n'ai jamais aimer personne.

Wah le banger que je viens de lâcher la, je lui ai jamais dit quelque chose comme ça et je crois que c'est se qu'il attendait, je le regarde attentivement et il semble passer par plusieurs émotions : d'abord le choque, ensuite, la colère, après la tristesse et enfin de la joie, il se précipite vers moi en pleure, mais cette fois-ci, ce sont des pleures de joie.

Julian : Si tu s'avais comme j'ai attendue et attendu pour entendre ces mots de ta bouche, tout les jours j'attendais, tout les jours je me demandais si tu allais enfin me dire de tel mots. J'ai attendu si longtemps...

Presnel : Pardonne-moi Julian, vraiment, tu ne méritais pas que je te dise ça.

Et sa seule réponse fut un baiser, un baiser salé par nos larmes, un baiser à la fois doux et passionner, un baiser comme si c'était le dernier et en même temps le premier.

Julian : J'ai eu tellement peur que tu ne reviennes pas.

Presnel : Et moi j'ai eu tellement peur que tu partes.

Et sur ces mots Julian m'a autorisé à revenir chez lui, après ça nous nous sommes douchés et directement après ont est allé dormir.

11h21

Je viens tout juste de me réveiller, j'ai dormis trop longtemps comparer à d'habitude, c'est bizarre, après la c'est peut-être parce que je me suis enfin réconcilié avec babe je pense surtout que c'est ça. Je repose mon téléphone, je me retourne pour s'il y a Juju mais il n'est pas là. Je décide de me lever du lit, je met un jogging gris et un t-shirt blanc, puis je descend en bas pour voir où est Julian et il semble être dans le salon. J'arrive jusqu'au salon, je m'installe sur le canapé, je m'allonge et je mes ma tête sur ses cuisses.

Pourquoi moi ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant