Victoria - Mathieu
PLK ff
Elle ne fait plus confiance aux hommes, il veut lui montrer qu'elle a tord même s'il a vécu le pire.
Il va réussir ou échouer ?
Entre amitié, amour, drame, jalousie.. ou va leur mener cette relation ?
[En RÉÉCRITURE]
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Mathieu CLAMART Juin 2022
Sa faisait plusieurs heures que je l'a regardais dormir, elle avait fait une crise d'angoisse deux heures avant qu'on aille dormir. Et pourtant elle avait l'air si apaiser comme si rien ne s'était passé.
C'était la première fois que quelqu'un faisait ça devant moi, alors je n'ai pas su vraiment comment réagir. Elle se réveilla doucement, et me regarda.
— Tu ne dors pas ? Sa voix était douce et cassée.
— Non mais t'inquiète pas pour moi, dors Vic'.
— Je suis désolé..
— Ne t'excuse pas, je passe ma main derrière sa tête et lui pose un bisou sur le front.
Elle enroule ses bras autour de ma taille, je reste surpris mais entour les miens a mon tour. Elle se rendort rapidement, se truc là qu'elle a fait a du l'épuiser physiquement comme mentalement. Je m'endors à mon tour rapidement.
Je me réveille soudainement en sentais Vic' se relever rapidement dans le lit, elle respirait fort et rapidement. J'allumais sa lampe de chevet et je l'a voyais passer sa main sur sa gorge.
— Qu'est ce qu'y se passe ?
— Je.. j'ai fais un cauchemar.
— A cause de ce qu'il s'est passé ? Elle hoche la tête.
Je lui ouvre mes bras et elle me regarde, je lui fais signe de venir puis elle s'exécute.
— T'inquiète pas, je suis là Vic', on y arrivera.
Elle tremblait dans mes bras, je voyais sur son réveille qu'il était que quatre heure du matin et que j'avais dormis que une heure. Même si elle était dans mes bras elle n'arrivait pas à se rendormir, j'essayais t'en bien que mal de l'endormir mais rien n'y faisait.
Et finalement, une heure après elle dormait, et je faisais de même.
Je me réveillais doucement puis j'ouvrais un œil et le deuxième, la lumière du jour passait entre les volets. Je regardais si Vic' dormait encore et apparemment non, vu qu'elle n'était plus dans le lit.
Je me lève du lit et sors de la chambre, j'avance jusqu'au salon et la trouve dans la cuisine. Elle avait l'air si fatiguée.
— Ça va mieux ? Je lui demande en m'asseyant à côté d'elle.
— Je suis crevé.
— Normal.
Elle me demande si je voulais un café je lui est dis que oui mais je me le suis fais moi même pour pas qu'elle force. J'hésitais de ouf à lui demander ce qui c'était passer, elle était pas du tout en forme.
— Pourquoi ta fais une crise ? Elle lève son regard et le plante dans le mien.
— Tu parle beaucoup Polak. Me dit elle avant de se lever de sa chaise et de partir, sa te regarde pas.
