Victoria - Mathieu
PLK ff
Elle ne fait plus confiance aux hommes, il veut lui montrer qu'elle a tord même s'il a vécu le pire.
Il va réussir ou échouer ?
Entre amitié, amour, drame, jalousie.. ou va leur mener cette relation ?
[En RÉÉCRITURE]
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Victoria, CLAMART, septembre 2022.
Aucune nouvelle de Mathieu depuis deux jours, pas un message, ni appel rien. Pourtant moi, je n'ai fais que ça, le stresse commence à monter petit à petit.
Lina était chez moi pour trois jours, sauf qu'elle me voyait stresser de fou malade.
— Calme toi Vic, j'ai envoyer un message à Lesram pour savoir où est Polak.
— Ça ne fera rien ! Il m'aurait déjà répondu sinon !
Je regardais mon téléphone toutes les heures, son absence me préoccupait et même sa mamie ne savait où il pourrait être.
Quelque temps plus tard, Lina fini part me dire au revoir et retourner chez elle. J'étais seule dans mon appartement, je m'assois sur mon canapé avec mon cappuccino et j'allume la télé pour regarder ma série du moment.
J'allais encore m'endormir sur le canapé avec la culpabilité de ne pouvoir rien faire pour Mathieu, je ne savais pas où il était. Sa grand-mère aussi et elle avait l'air plus stressé que moi. Je tombe dans les bras de Morphée car je n'avais pas tellement bien dormis depuis deux jours.
Une sonnerie de téléphone retentit, je sursaute et me lève d'un coup, le temps que je réalise que j'étais sur mon canapé mon téléphone s'éteint. Mon écran affichait deux appels manqués de.. de MATHIEU ?!
Je prends rapidement mon téléphone et appuie sur la barre de notification de ses appels, ça le rappelle et après trois bip il répond.
— Mathieu ?! Tu es où !
— Je-
— Dis moi et je viens te chercher.
— À l'hôpital.
— J'arrive !
Je raccroche et me lève du canapé, j'enfile des baskets, n'importe lesquels et prends mes clés de voiture après m'être légèrement couverte d'une veste.
Je ferme ma porte à clés et dévale les escaliers d'une rapidité, je cours jusqu'à ma voiture et démarre rapidement après m'être attacher. J'ai failli foncée dans un mur mais tout vas bien, je roule très vite jusqu'à l'hôpital qu'il m'avait indiqué dans son message et je me gare sur un place de parking la plus proche de l'entrée.
J'accours à l'intérieur et rapidement je me présente puis demande pour qui je suis la.
— Mathieu Pruski, s'il vous plaît, mes doigts claquaient un par un sur le comptoir devant la secrétaire.
— Chambre 236 au deuxième étage.
— Merci !
Je cours et appuie sur le bouton de l'ascenseur, les portes s'ouvrent mais il y avait trop de personne, j'abandonne et prends les escaliers.
