Victoria - Mathieu
PLK ff
Elle ne fait plus confiance aux hommes, il veut lui montrer qu'elle a tord même s'il a vécu le pire.
Il va réussir ou échouer ?
Entre amitié, amour, drame, jalousie.. ou va leur mener cette relation ?
[En RÉÉCRITURE]
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Victoria, CLAMART, septembre 2022.
Finis les vacances, mon réveil à sonner à huit heure ce matin, je suis actuellement dans la cuisine entrain de me préparer du pain de mie grillée et un café.
J'étais pratiquement prête, le temps que mon pain de mie grille, je retourne dans ma chambre, allume la lumière et trouve mes talons noirs. J'avais un rendez-vous ce matin, le client me voulait pour dessiner son symbole. Malheureusement j'ai besoin de plus de détails alors je dois le voir.
Je fais les lacets de mes talons en étant assise sur mon lit puis je me relève, me vérifie dans mon grand miroir et sors en éteignant la lumière.
Je retourne dans la cuisine puis j'enlève mes tranches de pain puis les met dans une assiette, j'étale du beurre et ensuite je m'assois sur une chaise autour de ma table de cuisine.
Mon café déjà posé sur la table, maintenant tiède je bois une gorgée, la douche de l'appartement s'arrête, je souris. La porte s'ouvre et j'entends les pas dans le couloir se diriger vers la chambre, il allait s'habiller.
Il arrive en cuisine cinq minutes après, il s'avance vert moi et m'embrasse, c'était tout nouveau et bizarre pour moi après tout ce que j'ai vécu.
Je l'observe se servir un café et il s'assoit en face de moi, il me sourit et me vole un tartine.
— Mais non ! Putain Polak, j'essaie de la reprendre mais il tape un croc dedans.
Je me rassois mécontente, il ricane et je le juge du regard.
— C'est quoi ton rendez-vous ?
— Travail. Un client veut un dessin de je ne sais quoi, il m'en a pas dis plus, je dis en me levant de la chaise.
Je débarrasse et met tout dans l'évier, je me lave les mains puis met mon téléphone dans ma poche arrière de mon jean.
— Ah ouais, imagine c'est une arnaque ? Je me tourne vers lui et hausse un sourcil.
— T'es sérieux là ? Je ricane en allant dans l'entrée, t'es marrant dis donc !
Il m'a suivis, il me prends par les hanches et me tourne vers lui, je lui souris et il m'embrasse sur le front avant de se détacher et de me laisser partir.
Je prends ma grande pochette verte à point noir puis mon sac à main et mes clés de voiture, je l'embrasse et lui dis une dernière phrase.
— À ce soir, et en partant au studio tu fermera la porte à clé s'il te plaît !
Je claque la porte puis descends les escaliers, je croise la grand mère à Mathieu, on parle un peu avant que je ne parte vraiment au travail.
En réfléchissant, aujourd'hui je dois passer à l'agence, faire mon croquis, parler à une collègue et en prime préparer les feuilles pour le travaux.
