Attention, ce chapitre contient entre autre de la violence et du sang pouvant heurter les plus sensibles, vous êtes prévenu, sur ce, bonne lecture !!!
-"Warum willst du ihn zurück ! Er ist gut zu mir ! Und du redest Blödsinn !" (Pourquoi tu veux le récupérer ?! Il est bien avec moi ! Et toi, parles imbécile !)
On me saisit par le bras, m'entrainant loin de la femme qui hurle, loin d'elle et sa colère, sa fureur que j'existe que je ne sois qu'une erreur... une erreur... voilà ce que je demeurerai toujours aux yeux de ma génitrice. Mais, soudain, prise d'un élan de rage, ses griffes me décrochent des mains de mon libérateur. Puis, elle passe ses horribles ongles sur ma peau, me la déchirant par endroit. Je frissonne, terrifié, je ne veux pas être avec elle, je ne veux pas la voir. Je ne veux pas qu'elle m'approche. J'hurle, si bien qu'elle saisit une règle en fer dont elle fait doucement chauffer le bout avec le feu de la cheminée qu'elle m'a fait allumer en début de soirée. Je veux retourner avec mon père. Elle me fait signe d'approcher mes mains sur la table du salon. J-je..... ç-ça fa-fait lon-longtemps qu-que j-je n-ne n'ai pas ress-ressenti ce-cette sens-sensation- d-de peu-peur...
-"Du wurdest aus einer Reihe von Unvollkommenheiten geboren, die dich zu einem unvollkommenen Kind machen, das niemals Perfektion erreichen wird und zum Wohle der ganzen Menschheit sterben sollte" (Tu es né d'une série d'imperfection qui fait de toi un enfant imparfait qui n'atteindra jamais la perfection et qui devrait mourir pour le bien de l'humanité entière)
Puis.....elle me frappe encore et encore et encore-
"Afhaf"
Je me réveille en sursaut, seul, dans une cabine, le train tressaute doucement, les trains sont conçu à partir du virus aussi. Comment un véhicule aussi polluant fut remis au goût du jour ? Cela est dû au génie des "anciens". En fait, ils ont injecté du virus dans des cabines de téléportation, les cabines de téléportation sont en réalité des ponts directs avec un endroit alternatifs les reliant toutes entre elles. Dans ce monde, des cabines de wagons flottent dans un espace où se trouve de multiples sortent d'écran en guise de rails montrant des scènes partout dans le monde. Uniquement des scènes de nature pure où ne se trouve aucun humains. Les wagons ressemblent à une sorte de métro, mis à part les rails, cet endroit est très coloré. Dans les wagons, le toit a été remplacé par un accès direct à l'espace où brillent les étoiles, impossible cependant de passer à travers le toit pour atterir dans l'espace. Je me lève pour sortir. Il fait beaucoup trop chaud. J'ai beaucoup trop chaud. Je retire ma veste avant de sortir, étant seul dans le wagon de fin, je peux m'assoir à l'arrière du train. Une sorte d'étincelle doré fonce vers moi. Avant que je ne puisse réaliser. Elle atterit à mes côtés.
Une fille, ou un homme ? Je n'ai jamais su, apparaît. Il porte un bonnet toujours tendu vers le haut orange ainsi qu'une chemise à carreaux bleu foncé aux traits oranges, ses cheveux bleus-noirs aux bouts jaune tombent en cascade sur ses épaules. Ses yeux sont semblables pour l'un à une éclipse solaire pour l'autre à une éclipse lunaire. Il porte une petite jupe orange transparente sur son pantalon bleu foncé. Ses manches sont extrêmement courtes n'arrivant pas plus loin que le bout du haut de ses épaules. Sur ses poignets se trouvent des bracelets, l'un bleu, l'autre rouge, tout deux terminés par des bouts comme ceux d'aiguilles mais en un peu plus triangulaires oranges. Ses chaussures sont quand à elle bleus foncées, terminé par deux bouts étranges qui, lorsqu'ils se rejoingnent, forment une flèche orange. Il fait d'ailleurs disparaître cette dernière flèche avant de me fixer. Je me suis assis contre la barrière, attendant qu'il s'exprime étant donné qu'il vient toujours me voir sans raisons valables.
-"Alors mon Lotus, encore un cauchemar ?"
J'acquiesce avant qu'il ne me tende un chewing-gum à l'acide. Il soupire puis déclare de sa voix mi-féminine mi-masculine.
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La Société Miroir
RandomBienvenue !!! Ici vous trouverez beaucoup de choses et de gens. Peut-être les apprécierez vous, peut-être pas. Toujours est-il qu'à la fin, vous risquez de vous inquiétez de ce qui ce cache dans les miroirs... Un simple conseil : Méfiez-vous de vos...