chapitre dix-huit

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𝑑𝑎𝑡𝑎 𝑒𝑠𝑡𝑖𝑣𝑎

LUCA ESPOSITO Salerno, Italia ; July

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LUCA ESPOSITO
Salerno, Italia ; July



Je passe une main dans mes cheveux en étant complètement en panique, les mecs me regardent, tous les deux avachis dans mon lit. On peut dire que sur ce coup là, ils ne m'aident pas beaucoup.

Gabriele - Ils sont bien tes cheveux. Dit-il en faisant tourner son téléphone dans ses mains.

- Tais-toi, tu me stresses. Je dis en remettant une mèche rebelle correctement. Putain de merde !

Kaïs - Calme toi...

- Mais non frère ! Je me tourne vers lui. J'aurais jamais dû vous écouter, c'était une idée de merde. Je m'avance vers moi téléphone mais Kaïs le prend juste avant moi, et il le fout à l'intérieur de son t-shirt.

Kaïs - C'est mort.

Gabriele - Tu vas être en retard Luca ! Me hurle mon cousin.

- Tais-toi ! Je lui crie dessus. Tu me stresses putain !

Et tout ce bordel, juste à cause d'un message et d'une proposition. Les gars m'ont chauffés pour que je propose un rencard à Ornela, résultat des courses ; je stresse et regrette cette foutue invitation.

- J'vais mourir, je panique là. Dis-je rapidement en passant mes mains sur mon t-shirt plusieurs fois d'affilé. Putain de merde.

Kaïs - Tu paniques pour rien. Souffle le brun.

Gabriele - Je suis d'accord.

- Vos gueules. Je dis en me tournant vers eux. Je fais quoi avec mes cheveux, du coup ?

Gabriele - Mais ils sont bien, là. Souffle le blond.

Kaïs - Faut savoir Luca, soit on la ferme soit on t'aide... Dit-il en haussant les épaules.

Je me laisse tomber sur mon lit, épuisé et complètement stresser, je n'aurais vraiment pas dû envoyer un message à Ornela, ça me stresse de dire que nous allons avoir un rendez-vous.

- Putain de merde. Je dis passant mes mains sur mon visage.

Gabrielle - Stresse pas, ça va bien se passer.

Kaïs - Et puis, tu connais déjà Ornela. Dit le brun en ébouriffant mes cheveux, ce qui me fait grogner.

Mon cerveau est complètement en surchauffe, je panique comme si j'allais passer le bac, et honnêtement j'ai l'impression que c'est pire qu'un examen.

Mais il faut bien y aller.










𝐷𝑎𝑡𝑎 𝐸𝑠𝑡𝑖𝑣𝑎Où les histoires vivent. Découvrez maintenant