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15h03, Région clair,

Je senti deux mains se poser sur mes épaules, ils avaient compris, je me retournai les yeux humides alors que mon visage était encore neutre de larmes, je souris malgré toute la tristesse qui m'envahissait.

"On poursuit, questionne Sato pour détourner mon attention.

-Ouais..., dis-je en retenant les larmes qui menaçaient de tomber."

Patrick passa son bras autour de mes côtes et m'entraîna tranquillement avec eux, on finit simplement le tour et on marcha vers l'appartement sans trop de cérémonie, il n'y avait après tout pas grand chose a dire. On avait tous vu ce qu'il y avait écrit la, et meme j'avais espérer que ce ne soit pas le cas, qu'il n'ait pas interrompu ses rêves si soudainement, je pouvaient espérer qu'il eu profiter de ces derniers jours innocemment mais ce n'était plus que visiblement pas le cas.

L'après-midi ainsi que la nuit se déroulent ainsi sans grand obstacle, je me retrouvai ainsi a me reveiller plus sereinement que la veille et a petit-déjeuner en coup de vent, en vu de mon retard affolant. Je marche rapidement en direction du siège -evidement tu travail là abruti- je ne tarde pas à arriver et débute directement le travail qui se trouvait posé sur mon bureau, Dieu ne tarde pas a rentré et je ne dit rien restant juste muet à côté de lui. Je fini mon documents et me redresse afin de marcher vers la jeune femme habituel, habitude journée identique, je pose mon documents sur mon bureau, je vais au toilette vider les restes de ce qui preserves nos ames en vie, je me rassoie et je fait mon travail habituel.

On m'apella pour une plainte et je du regler une hesitation, il a malheureusement tuer une centaines de personne au volent car il se depecher pour que ca femme accouche -les deux sont morts sur le coup- sans hesitation il purge ca peine en enfer. Je rentre ainsi tranquillement chez moi, cette fois-ci Dieu ne m'interpelle pas. Alors une fois a la maison étant seul avec Cassandre j'ouvre simplement l'ordinateur en échangeant des bribes avec elle.

Hey mon diable ?

Ça va ?

Je reste une vingtaine de minutes devant l'écran à parler avec Cassandre avant de me résoudre à fermer totalement l'écran et discuter entièrement avec la jeune infirmière.

"Je te promets, dit-elle hilare, elle est venue accompagnée de son mari et elle avait le haut du château dans le vagin, elle s'était assise sur le château en plastique de son fils.

-Oh non le pauvre, dis-je à mon tour hilare alors que quelqu'un entrait dans la maison.

-Bonjour, dit Cassandre à l'adresse d'Haenna qui monte directement dans sa chambre sans répondre.

Cassandre me sourit même si je savais bien que cela la blessait certainement, on en discutera avec elle, même si elle est épuisée elle pourrait un minimum répondre par politesse, je m'en voulais un peut de ne pas aller lui parler, mais je connaissais Haenna maintenant. Le reste de la coloc rentre à la maison, j'allai alors m'isoler un peu dans ma chambre, j'avais tellement peur. Daemon avait-il rencontré quelqu'un à son tour, etait-il le premier à avoir rencontré quelqu'un... moi je n'ai fait que me mentir, cela me blesse beaucoup d'y penser, mais je n'ai plus vraiment le choix maintenant n'est-ce pas, j'ai moi même initier notre separation et il est de toute façons maintenant impossible que l'on se retrouve, alors c'est bien pour lui non ? Il a le droit d'être heureux avec quelqu'un d'autre désormais, je ne peux pas éternellement rester avec lui alors que malheureusement c'est peine perdu...

Je sortis de la maison discrètement en espérant ne croiser personne et c'est alors que la lune régnait sur le ciel, je trembloter face au froid encore plus glacial que celui auquel j'étais habitué depuis maintenant bientôt six ans, je marchais à travers les rues atteignant comme habituellement le centre-ville qui était animer, sans cesse différent groupe d'ami.e.s sortait de bar en rigolant tous ensemble, et moi je marchais seul.e car je n'osais pas parler de toutes la souffrance que je ressentais ces derniers jours, peut-être que si je leurs disait une bonne fois pour toute tout irait mieux, je retournerais peut-être voir ma psy qui cette fois m'aiderais a apprendre a vivre sans lui, à elle à qui j'ai dit que je me sentais si bien, alors que la vérité c'est que pour le moment sans lui je ne suis rien, il sait m'aider a prendre confiance mais je ne sais pas le faire sans lui, et pour le moment c'est ainsi, et cela ne durera bientôt plus je l'espère. Je comprend enfaite tout ce que j'avais fait, c'était mal, mal d'être partie ainsi sans osé dire ce qui n'allait pas, et elles/eux dans tout ca iels et étaient prêt à m'écouter sagement sans rien dire, et j'avais osé nié tout ca... j'avais osé nier la raison pour laquelle iels étaient quasiment tous à la Colloc improvisé, parce que ce sont mes ami.e.s qui m'écoutent s'il le faut et qui sont là pour moi comme je suis la pour eux si besoin. C'est pour ca que lorsque je m'assis sur se banc les larmes coulèrent à nouveau soudainement sans que je ne puisse rien y faire, j'etait juste impuissant face à tout ce que j'avais tenté de nuir depuis le début.

Fallen for skyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant