Chapitre 1: Accident

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Le vent souffle dans mes cheveux et les vagues chantent. Je commence a avoir réelement sommeil, je décide alors de rentrer. Je range mes affaires et me dirige vers ma voiture. Je prends la route, le trajet n'est pas long: une dizaine de minutes à peine. Il doit etre 1h il y a donc beaucoup moins de circulation dans les rues de Monaco

Tout à coup une Ferrari Monza SP2 déboule à ma droite et percute ma voiture violamment. J'ouvre les yeux, j'ai mal à la tete. Je tourne ma tete et vois le conducteur qui m'a percuté frapper son volant et hurler en anglais.

-Putain, fait chier... c'était ma préférée. Il sort de sa voiture en manquant de trébucher et constate les dégats. Il vient ensuite du coté de ma voiture. Tu peux pas faire attention quand tu conduis sale conne!

Je le regarde, choquée. Du au choc en premiers lieux mais aussi par ses propos, c'est lui qui est en tord.

-C'est une blague? C'est toi qui m'a rentré dedant.

-Et la priorité à droite dans tout ça? Il croise ses bras.

Merde. C'est de ma faute, aprés ce n'est pas si grave que ça en a l'air il a dit "c'était ma préférée" il doit en avoir toute une panoplie chez lui.

-Désolé, je t'en repaye une ou celle que tu veux...

-Je n'en veux pas d'autre, j'men fou j'en ai plein d'autres. Mais celle la je n'en n'avait qu'une. Il regarde à présent le sol, il a l'air vraiment attristé. Attends, tu es bléssée?

En effet contrairement à lui je ne m'étais pas levée j'étais toujours assise dans ma voiture cabossée.

-Je ne sais pas, j'ai peur de me lever.

Il s'approche de moi écrasant quelques bouts de verre au passage. Au moins l'un de nous deux devait rouler bien au dessus des limitations de vitesse pour arriver à un tel impact. Il me tend sa main, je la saisit. Je bouge ma jambe gauche sans trop de difficultés puis la droite mais je sens une douleur, je souléve ma longue robe et vois des ecchymoses sur ma cuisse mais ma jambe ne semble pas cassée. Je pose alors ma deuxiéme jambe à terre et me lève. Ma tete tourne un peu mais je ne semble pas etre bléssée. Je reléve mes yeux qui regardaient mon corps pour les poser sur l'homme devant moi, ma main est toujours dans la sienne. Il m'observe. L'énervement et les tentions s'étaient visiblement calmées entre temps.

-Je m'appel Max, Max Verstappen. Il me sourit

-Je m'apelle Iris Wolff. Je lache sa main. Je suis vraiment désolée pour ta voiture, je m'en veux terriblement. Je recule un peu et m'appuie sur ma voiture.

-Ce n'est rien, ce n'est qu'une voiture. Il vient s'appuyer contre celle-ci à coté de moi. Au vu de l'état des voitures je vais faire venir des dépanneuses. Je t'appel un taxi?

-Non, j'habite à deux rues d'ici, je vais rentrer à pieds.

-Je t'accompagne alors.

-Non je t'assure...

Il me coupe.

-J'insiste.

Je récupére alors mon sac et quelques affaires sachant que je ne reverrais certainement plus ma Mercedes- AMG GT. Le trajet de quelques minutes à peine se passe dans le calme. Max me dit qu'il est également désolé pour ma voiture mais je le rassure en lui disant qu'il y en a 4 autres dans mon garage. Nous arrivons devant mon pavillon qui a l'air de le surprendre quelques peu.

-Je me demandais...commença Max, si tu voudrais bien que l'on se revoit ? Je hoche la tete, il sort son téléphone de sa poche et me le tend, j'y inscrit mon numéro. Je pars dans deux jours pour Bahrein pour quelques jours, je te contacte quand je reviens ?

J'hésite à lui dire que j'y vais aussi et je pense pour la meme raison que lui; assister au Grand Prix. Mais aprés tout on ne se connait pas et je préfere le revoir a Monaco.

-Oui c'est parfait, bon eh bien, au revoir Max.

-Au revoir Iris.

Why Planes ?  -  [Charles Leclerc]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant