Chapitre 6: Plage, et un café?

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PDV Charles:

Je me suis réveillé tot, comme tous les matins, j'enfile une tenue et pars faire un footing dans les rues de Monaco. Un peu plus tard, j'arrive à la fin de mon parcours, je suis épuisé. Je marche maintenant, jusqu'à la plage pour m'y reposer. La plage est déserte, excepté une personne qui lit, je ne peux pas m'empecher de repenser à la belle inconnue de Bahrain. J'essaie de récuperer un peu en marchant aprés avoir couru, mais je suis toujours aussi éssouflé et épuisé, je commence à avoir la tete qui tourne et à avoir chaud, ma vision se trouble. Ce n'était trés judicieux d'aller courir en ayant que trés peu dormi et en n'ayant rien mangé avant.

PDV Iris:

Je viens de me réveiller, je prends mon petit déjeuner devant la télé. Je zappe et tombe sur un résumé du dernier Grand Prix, j'y apprends le nom du pilote que j'ai rencontré au restaurant il y a quelques jours, il s'appel Charles Leclerc. Aujourd'hui je n'ai rien de prévu, alors je m'habille simplement, attrape un tote bag dans lequel j'y glisse un livre, un crayon à papier et quelques autres futilités puis mets mon casque, lance ma musique et sors de chez moi. Il ne fait pas particuliérement chaud mais il ne fait pas froid non plus, je décide alors de marcher et non prendre ma voiture pour me rendre jusqu'à la plage. Il est trés tot et vu que nous sommes en mars la plage est vide, je m'assoie sur le sable froid et observe le lever du soleil tout en lisant. Pour seuls bruits, j'écoutait les vagues et les quelques voitures qui passaient sur la route. Soudain j'entends un bruit, je me retourne et vois un corps inerte un peu plus loin sur le sable. Je me léve et vais le voir de plus prés. Je ne mets pas longtemps avant de reconnaitre Charles bien qu'il soit complétement décoiffé et inconscient. Je vérifie si il respire encore... puis son pouls, puis je le regarde et attends, aprés tout que faire lors d'un malaise ? Il reprend conscience rapidemment.

-Ça va ?

-...Ouais... Dit il en se redressant et en passant la main derière sa tete.

Je lui tends un biscuit tout droit sortit de mon sac, il le saisit, l'ouvre et le mange. Je m'assois à ses cotés.

- Tu vois! On se retrouve, meme si ce n'est pas dans les meilleures circonstances.

- J'en suis trés heureux, une question me taraude; comment tu t'apelles?

- Je m'apelle Iris.

- Alors, Iris acceptes tu d'aller prendre un café avec moi.

- Avec plaisir!

Nous nous levons, je récupére mes affaires et nous marchons jusqu'au café le plus proche.

Why Planes ?  -  [Charles Leclerc]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant