Why Planes ? - [Charles Leclerc]

Chapitre 22: Why planes ?

Pdv Iris:

J'étais coincée à la résidence secondaire familial de Monaco. J'y avais revu ma mére que je n'avais pas vu depuis des mois.

Mon père n'avait pas ommit de lui raconter notre mésaventure lors de notre dernier attérissage. Mais contrairement à lui, elle fut bienveillante et m'a dit que j'avais surmement besoin de repos.

En vérité, je travaille assez. Je pilote pour mon père meme en dehors des Grand Prix, je suis aussi souvent ammenée à piloter pour ma famille, qu'elle soit proche ou éloigné. En conclusion je ne suis pas souvent chez moi. Et ces derniers temps, alors que je pourrais y etre, je passe mon temps chez Charles.

Nous avons échangés quelques appels et messages depuis que nous sommes rentrés.

Je dois passer l'aprés midi avec lui, pour fuir un peu le nid familial.

Ma famille est d'ailleurs à Monaco pour se reposer et pour venir me voir, en effet je ne l'avais pas vu depuis des mois, excépté mon père.

Parée d'une nouvelle robe et de mes lunettes de soleil, je sors de la maison pour y rejoindre Charles dans sa voiture.

Je rentre dans la voiture et il se penche vers moi pour m'embrasser. Je le repousse gentillement.

- T'es fou ! Pas ici ! Si on me voit je suis morte !

- Pourquoi ?

- Je sors avec la concurrence ! Il rigole et démarre la voiture. Ne rigole pas, si elle le pouvait, ma famille prierait littéralement Merecedes. Alors s'ils me voient avec un pilote ferrari, dans une ferrari c'est la fin pour moi.

Nous nous arretons à un feu rouge. Je pose alors mes mains sur son visage et l'embrasse.

- Ca m'avait manqué.

- A moi aussi.

Durant le reste du trajet, sa main est posée sur ma cuisse alors que je le regarde.

Il est si beau lorsqu'il est concentré sur ce qu'il fait. Meme si comparée à une F1, conduire une voiture comme celle ci doit etre un jeu d'enfant.

Nous arrivons sur Nice, mais nous n'avions rien de réellement prévu.

Je l'emmene donc à un spot devant les pistes. Les avions nous frolent presque, le bruit des réacteurs est tellement fort que c'est le seul que l'on entend.

Je scanne mon badge de pilote et entre derièrre les pistes avec Charles.

- Regarde ! Un 747 va décoller.

Il s'alligne sur le tarmac, le bruit des réacteurs devient plus fort et le boeing s'élance. Il prend de la vitesse et décolle sous un Charles ébaubi.

Il bouche ses oreilles mais je lui retire ses mains.

- Ecoutes ce bruit divin !

Les réacteurs faisaient beaucoups plus de bruits que les autres avions car sur un 747 il y a 4 réacteurs. Ce qui rend le bruit encore plus parfait.

L'avion finit par s'éloigner.

- Alors !

- C'est vraiment impressionnant, il était tellement bas; qu'il donnait l'impression qu'il allait nous toucher. Me dit il le sourir aux lèvres.

Nous allons nous assoir sur un banc non loin de la.

- Iris ? Il me prend la main et je pose ma tete sur son épaule.

- Oui ?

- Pourquoi les avions ?

Je souris.

- Tu sais, toute ma famille vit pour les voitures, mon père tout comme ma mère. Lorsque nous étions enfants, nous étions dans un nouveau pays chaque semaine pour voir des voitures tourner en rond sur un circuit. Mais moi ce que j'aimais la dedans c'était les trajets entre ces pays; l'avion a toujours été ma passion car c'est si beau. On peut voyager partout avec, on est si haut, et la mécanique d'un avion est autant intéréssante que complexe.
Enfant, j'ai vite compris que j'allais devenir pilote d'avion, au grand déséspoir de ma famille qui me voyait devenir pilote de course, ce qui m'a fallut de nombreux conflits.
Et je sais que ce choix les a deçu et qu'au fond d'eux ça les décevra toujours.
J'ai beau faire ce que j'aime, si je suis arrivé la ou je suis aujourd'hui c'est grace à moi meme car mes parents ne m'ont jamais vraiment soutenu dans ce projet.

- J'en suis désolé. Malgré tout je ne comprends pas l'opinion de tes parents; etre pilote d'avion ce n'est pas rien. Ca va encore plus vite qu'une F1, c'est beaucoup plus complexe et tu as la vie de passsagers entre tes mains.
Depuis que je suis avec toi, j'ai appris à d'avantage aimer les avions à travers nos escapades, et j'éspére qu'il y en aura d'autres.

- Ca je n'en doute pas.