(Guillaume) :
Ce soir-là, après avoir diner dehors, ils se rendirent tous sur le port de Roscoff. Pour le bal en plein air. Des musiciens jouaient des airs populaires, ils dansèrent tous les 4 et passèrent une excellente soirée. Toute tension et non-dits entre lui et Marie-Élisabeth avait disparue... Et ils étaient plus heureux que jamais ensemble... Cependant, il devait s'avouer que son regard avait changer sur la jeune fille. Il était devenu incroyablement sensible à son charme féminin à sa beauté, à fleur de peau... Et la tenir dans ses bras en dansant, réveillait en lui des pensées totalement incongrues et inappropriées. Le désir était entré dans ses veines et commençait à torturer ses sens ...
Vers 23 heures, quand elle vint se couler dans ses bras, entourant sa taille pour visionner le feu d'artifice avec lui... c'est à peine s'il vit les explosions colorées, il n'avait d'yeux que pour son visage pur qui souriait, ses yeux brillants où se reflétait le feu d'artifice, et les sourires radieux, qu'elle lui faisait à intervalles réguliers... Elle ne dit rien quand il la serra un peu plus étroitement, ni quand il l'invita à s'assoir avec lui sur un banc... Leur proximité semblait la même, mais quelques choses avaient changé radicalement de son côté, il ne la voyait plus comme l'enfant qu'elle avait été, mais comme une jeune femme, sublime aux charmes et qualités unique à ses yeux.
Le lendemain matin les quatre amis se réveillèrent vers 9h30 du matin, et Marie-Élisabeth partit chercher. Le pain à l'accueil du terrain de camping. En effet une boulangerie du centre-ville, faisait des livraisons régulières, au terrain de camping. Chaque matin.
Ils déjeunèrent dehors, puis se préparèrent pour aller à la plage. C'est alors qu'elle s'aperçut, que leurs parcelles avaient été visitées durant la nuit. Et que le linge qu'elle avait mise à sécher, avait disparu. Y compris son sage maillot de bain !
Quand elle en parla à Cindy, Cette dernière lui proposa de lui en prêter un. En effet, elle en avait 2 ou 3 de rechange dans sa valise. Il fut donc convenu entre les filles, qui faisaient la même taille. Que Lisa, en achèterait un dans les boutiques de la plage dans l'après-midi, et qu'en attendant, elle passerait la journée, avec celui prêté par Cindy.
Cependant, quand Cindy ramena le Bikini rose à Marie-Élisabeth cette dernière, se sentit très gênée, de devoir porter pour la journée, ces petits carrés de tissu insignifiant. Jérôme éclata de rire et Cindy lui assura qu'il lui irait à merveille.
Guillaume, lui, ne dit rien. Mais il sentit que Jérôme et Cindy était de mèche et leurs yeux qui allaient de lui à Marie-Élisabeth n'était pas innocent, le couple mijotait quelque chose...
Mais quand ils arrivèrent à la plage, et qu'elle retira sa petite robe d'été... C'est à peine s'il osa la regarder. Ainsi accoutré, elle était encore plus jolie, ses formes féminines aux courbes affolants ainsi mise en valeur... Eveillèrent en lui des pensées qui n'avaient plus rien d'amicale. Tout se gâta quand Cindy sorti la crème solaire et qu'après s'en être mit, et en avoir passé dans le dos de Jérôme, elle la jeta à guillaume en lui disant.
- Tu pourrais en mettre dans le dos de Lisa ? Jérôme et moi on va se baigner...
Marie-Élisabeth protesta secouant la tête. Mais Jérôme affirma qu'il allait faire plus chaud encore que la veille, et qu'elle devait absolument protéger sa peau, si elle ne voulait pas brûler...
Marie-Élisabeth prit la crème solaire des mains de Guillaume. Et commença à se badigeonner, les bras, le buste, et les jambes, ainsi que le visage. Finalement Guillaume lui passa de la crème sur les épaules et le dos et la douceur de sa peau satinée eu raison de lui ! Il se surprit à rêver de goûter de ses lèvres la peau si douce de ses épaules...d'y déposer de fiévreux baisers...De redessiner de ses paumes les courbes de son corps...
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Nul autre que lui - Tome 1
RomantizmDeux amis de longue date, liés par une complicité fusionnelle. Depuis dix ans, elle est éprise de lui, mais il est aveugle à ses sentiments. Elle est sa confidente, son soutien inconditionnel, tandis qu'il reste le rêve et l'obsession qui hantent se...