Chapitre 26

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— J'ai peur, Harven. Peur. Tu comprends. Aujourd'hui je t'ai vu fracassée un mec parce qu'il discutait avec moi. Si je ne fais pas ce que tu me dis, es-ce que tu me frappera ?

— Non. Jamais…où vas-tu trouver ses idées ?

— Je ne sais pas si je dois te faire confiance…

— On en reparlera plus tard. Maintenant je suis excitée, et j'ai envie de toi.

Mon vagin sort de la mouille chaude.

Putain.

Il enlève ma culotte. Il touche ma fente.

— T'es toute mouillée….tu dois être aussi excitée que moi.

— Non pas du tout. Je ne le suis pas.

— Pourtant ton vagin est chaud en plus dégouliner.

Je me pince les lèvres, ma gorge se serre.
Les larmes me montent aux yeux.
Je déglutis.

— Qu'est-ce qui se passe ? Me demande-t-il.

Rien ne peut être comme je le veux, même mon propre corps est un traître.

— Rien, dis-je en reniflant pour éviter que ma morve ne coule.

Harven prend un mouchoir sur sa table de nuit et me le donne.

— Merci, dis-je en me mouchant.

— Euh…je pense que je-

— Tu vas me baiser ?

Je le lui dis dans les yeux.
Mon clitoris tremble.

Il me saute dessus, il m'embrasse fougueusement.

Il retire comme un sauvage, ma culotte. Je suis aussi excitée que lui.

Je mets ma main sur sa bosse.

Il me regarde quelques secondes, puis il me lèche le cou.

Il enlève son pantalon, sa bite rebondi.

Il s'apprête à me pénétrer quand son téléphone sonne.

— Putain, qui m'appelle à cette heure, dit-il en étirant son bras pour regarder son écran.

Il ouvre grand les yeux. Il pose un doigt sur sa bouche pour me dire de ne pas parler.

— Salut, papa, comment ça va ?

J'inspire d'effroi.

— Oui je suis à la maison, je ne suis pas dehors….ne t'inquiète pas….je m'apprêtais à dormir… non ne t'inquiète pas tu ne m'as pas réveillé… bonne nuit papa.

Il raccroche, jette son téléphone sur le lit, et me pénètre sans me prévenir.

Je crie.

— Aaaaaah j'attendais ça depuis le début de la journée dit-il tout sourire.

Il me laboure comme une chienne qui n'a pas été baisée depuis des lustres.

— C'est bien, écarte plus les jambes Grace.

Il s'enfonce profondément. Et tape bien dans le fond.

— Aaaaaah, Harveeeeennnnn dis-je sans me contrôler.

Il me sourit.

Ses coups de reins sont de plus en plus violents, pour le plus grand plaisir de mon vagin excitée qui en coule de mouille.

— Plus fort….Harveeeeen plus fort….

Il s'attela à me faire crier encore plus fort.

— Harven…dis-je en grognant.

Petite PoupéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant