Chapitre 50

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Grace

Je me réveille la tête lourde, en ouvrant les yeux, je découvre une grande fenêtre donnant sur une plage déserte, ensoleillé.

Je fronce les sourcils, es-ce que je rêve ? Je frotte mes yeux incrédules. Mais la mer qui est d'un bleu paradisiaque ne semble pas s'être évanouie. Je me rend compte que je suis dans un lit au draps blanc, au coussin et à la couverture de la même couleur. Mon cerveau, me comprend rien à ce qui ce passe. Je me retourne. J'ouvre les yeux en grand. C'est Harven.

— Merde, dis-je en tremblant. Qu'est-ce qui s'est passé ?

Harven entrouvre les yeux. Je me prépare à sortir du lit mais Harven me prend par la taille directe.

— Qu'est-ce qui s'est passé ? Qu'est-ce que tu m'as fait et où on est ? dis-je affolé.

— Hier….c'était.

— Pas de conneries dis-moi la vérité.

— Ok. Je…je t'ai “endormie” et… je t'ai emmener sur mon île privé.

— Ah…mais t'es malade. Tu vas pas bien… tu es fou ?

Harven se colle à moi. Je sens une grosse érection matinale.

— Éloigne toi de moi. Harven.

Il recule en s'allongeant paresseusement de l'autre côté du lit. Je remarque que mes vêtements on été changé.

— Tu as aussi changé mes vêtements.

— Non je te rassure c'est une femme qui l'a fait, une femme de ménage, je lui es donner un gros pourboire et elle la fait.

Je me mets sur Harven.

— Ramene moi tout de suite ! J'ai un boulot et…

— Et un fiancé de merde. Je sais.

— Ramène moi !

— Arrete de crier. Et tu veux pas profiter un peu ? Regarde cet île est paradisiaque… il ya plein de chose à faire.

— J’en ai rien à faire. Je veux rentrer chez moi.

— D’accord. Si tu couche avec moi. Je te laisserai rentrer chez toi.

— Mais t’es pas sérieux ?

— Si tu vois bien que la je suis dans une position assez délicate. Ça faisait un bail que j’avais pas eu une érection de cette taille alors…

— Je ne veux plus rien entendre. S'il te plaît.

— Juste une fois, dit-il en suppliant.

je sens mes tétons durcir. Je déglutis.

— Hors de question.

— Tu veux rester n'est-ce pas ?

— Non. Arrête tes délires.

— Tu sais si on couche ensemble, je vais pas te faire partir de mon île privée… on peut coucher ensemble et puis… tu peux rester.

— j'arrive pas à le croire… t'es taré…

j’arrive pas comprendre pourquoi je suis excitée.

— Tu sais, dit Harven en s'approchant. On pourrait passer toute la journée au lit, murmure-t-il. Hum…tu penses pas que ça serai bon. Que ça serai de bonne retrouvailles.

— Tu es taré, recule.

— Pourquoi trembles-tu ? Grace.

— Je sais que tu me laissera pas m'en aller si je couche avec toi.

Harven commence à rire.

— C'est vrai. T'as raison.

— Laisse moi partir Harven. Je vais pas coucher avec toi.

— Dehors, il y a des employés. Tu me vois me balader avec une érection pareil.

— C'est pas mon problème.

L'information me monte au cerveau. Il y a donc d'autres personnes. Je sors du lit, en courant. Je me dirige vers la porte mais elle est verrouillée.

Harven rit.

— Ouvre cette porte.

Harven se lève, les tablettes de chocolat extrêmement définies. je découvre qu'il est totalement nu.  Je me retourne immédiatement. Son sexe tendu pendait et bougeait quand il marchait.

— Ne fais pas la prude. Tu m'as déjà vu plusieurs fois nu.

Il ouvre la porte.

— Voilà, amuse-toi bien. Reviens quand tu auras fini.

— je ne reviendrai pas.

— On verra.

Je sors de la chambre. Je traverse un grand couloir puis je descend un grand escalier. Je vois un homme d'un certain age derrière un comptoir.

Petite PoupéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant