Chapitre 47

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Harven

J'ai ouvert la porte, elle était là, habillée d'une robe noire, et d'un petit décolleté. C'était sensé être sa tenue pour le dîner…mais elle est là…chez moi. Dès que je l'ai vue…je dois l'avouer que…mon pénis s'est durci immédiatement.

— Qu'est-ce qui y a ? Dit-elle en me dévisageant.

— Rien. Rien du tout.

Ce qu'il passait c'était que je me forçais à ne pas me jeter sur elle. Lui, arraché cette robe pour la prendre sur mon canapé. Là toute suites sans lui demander son avis. Mais en gentleman, voulant surtout lui prouver que j'avais changé. Je l'ai fait rentré en la humant pendant qu'elle marchait pour aller dans le salon.

— Qu’est-ce que tu veux à la fin Harven ?

Te prendre comme si c'était la dernière fois qu'on allait se voir.

Je m'approche d'elle.

— Regarde-moi droit dans les yeux et dis-moi que tu aimes ce gars ?

Les yeux de Grace ne semblent pas en revenir.

— Tu es fou, dit-elle avec un sourire.

— Ne sourit pas, ne rigole pas. Réponds seulement à cette question.

— Harven, je pense que ça se voit non ? Je vis avec lui. Je suis fiancée. Qu'est-ce que tu peux pas comprendre là dedans ?

— Grace…il te satisfait ?

— Hein ?

— Il te satisfait sexuellement ?

Elle détourne les yeux de mon regard.

— C'est quoi cette question ?

— Oh. Grace…je t'ai vue…

— Moi aussi je t'ai vu me regarder par la fenêtre….

Merde.

— Tu pensais que je n'avais pas remarqué que tu t'étais installé ici. Harven…dit-elle avec une moue.

— Tu t’es joué de moi !?

— Je me suis joué de toi ? T'exagère tu penses pas ?

Je la prends par le poignet. Grace tremble légèrement. Je sais…je sais qu’elle est excitée.

J’ai le sexe tellement dur, que c’est difficile de garder les idées claires.

— Aaron lâche-moi.

Je la fais basculer sur le canapé, tout en l’embrassant avec la langue. La langue de Grace m’avait manqué que se soit dans ma bouche et aussi sur mon sexe… le souvenir des fellation qu’elle me faisait me revienne en tête.

Grace essaie de se débattre. Mais je tiens ses poignet fermement dans mes mains.
Elle essaye de tourner la tête pour éviter mes baisers, mais elle est sous mon emprise.

Quand j’arrête de l'embrasser voulant reprendre mon souffle.

— Harven, arrête tout de suite.

Je suis sûr qu’elle mouille énormément, qu’elle est très excitée. Parce que je vois à travers le tissu de sa robe, ses tétons pointer durement. Mon sexe sur sa cuisse, je tremble.

Une envie de mettre ma main sur sa bouche et lui ordonné de se laisser faire me prend tout à coup.

Je remonte sa robe, déchire son collant pour vérifier si elle mouille. Elle est littéralement trempée son corps ne mens pas.

— Harven…mais qu’est-ce que tu fais ? Mon collant ?

— Je t’en rachèterai un autre.

— Je veux rien de toi, dit-elle en voulant se lever mais je la plaque sur le canapé.

— Il te satisfait pas n’est pas c’est pour ça que tu jouais à ce petit jeux…. A te mettre nue quand Georges était pas là…te masturber quand il n’était pas là. Tu as une grosse envie n’est-ce pas…Grace.

Son bassin bouge…je sais qu'elle meurt d’envie de me dire de la prendre comme une salope mais elle se retient…

Petite PoupéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant