Chapitre 21

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Es-ce que c'était la claque qu'il l'avait calmé ? Est-ce qu'il m'en voulait ?

Je m'étais installé à table, Harven en face de moi. Il ne me quitte pas du regard.

— Tu allais partir sans me faire un bisou sur la joue, belle maman ?

Je fronce les sourcils.

— Harven arret-

— Tu es ma nouvelle maman alors ne m'oublie pas. Tu as une nouvelle responsabilité. Est-ce que tu seras capable de me dompter ?

Je ne sais pour quelle raison mais j'ai des bouffées de chaleur sur tout le corps.
Pourquoi tout ce qu'il dit à des connotations sexuelles ?

— Harven, je ne suis certainement pas ta maman.

— Oui biologiquement mais…tu sors avec mon père alors…. Je suis curieux des punitions que tu vas me donner. Hum…il ne faut pas que je sois trop impatient.

— Harve-

— Es-ce que tu peux me passer le beurre, belle maman ?

Je prends le beurre, je me lève pour le lui donner mais il agrippe ma taille.

— Arrête, lâche-moi.

Il me tourne légèrement et me donne une fessée.

— Pour ça, quelle punition ?

Je le regarde.

Une autre fessée, avec sa main il attrape ma fesse droite en jouant avec.

Insolent comme il est, il m'excite encore plus.
Il se lève, sa main remonte sur mon dos, ma robe se retrouve retroussée. Je me retrouve en culotte, il me sourit.

Il me tire pour que nous nous éloignions de la table.

J'entends son souffle sur mes oreilles.

Harven me donne une grande fessée qu'on peut entendre dans toute la maison. Je frémis. Il rit.

Je suis excitée comme pas possible.

— Mets tes mains sur la table.

Je m'exécute.

— Écarte bien les jambes et cambre toi.

Je fais tout ce qu'il m'ordonne de faire.

Une autre fessée.
Elle résonne.
Je dois surement dégouliner dans ma culotte.

— Belle maman, normalement ce n'est pas moi qui doit donner des punitions.

Il écarte ma culotte de ma fente.

— Tu es toute mouillée. Ça t'excite ? Dit-il en me prenant par les cheveux.

Il me susurre.

— Ce n'est pas bien d'être excitée par une punition.

Je me retourne.

— Mon corps ne fait que s'adapter à tes perversions.

Il rit.

Nos nez se touchent.

— Pourquoi tu ne veux juste pas reconnaître que je t'excite ? Que tu as envie de baiser avec moi ?

Jamais.

— Mon père n'est pas là, on peut monter dans ma chambre et profiter. Je voudrais tellement t'attacher sur mon lit et faire de toi tout ce que j'ai envie.

— Tu peux rêver.

— Un jour tu craqueras et tu crieras mon prénom dit-il en posant ses lèvres sur les miennes.

Petite PoupéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant