Chapitre 41

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J'essayais tant bien que mal de réviser mais Harven me faisait des baisers partout sur le cou. La joue et l'épaule droite.

— Harven…

— Quoi ? Dit-il avec une voix plaignante.

Il continue.

Bon, je laisse tomber. Je réviserais plus tard.

Je dépose mes notes.

— Voilà, tu es content ?

Il me sourit.

— Très.

Il m'embrasse et me fait tomber à la renverse.

Mon corps est allongé sur le canapé, lui sur moi il me dévore le cou.

— Harven…. attends au moins qu'on aille se coucher non ?

— Non, je te veux tout de suite.

Mon téléphone sonne.
Il relève la tête.
Je me demande qui c'est ?

J'étire mon bras pour prendre mon téléphone qui est sur la table basse. Mais Harven me devance et regarde mon écran.

— Grrr encore lui, putain.

Oh. Ça doit être Brandon.

Je lui prends mon téléphone des mains.

— Brandon ? 

— Oui c'est moi.

Harven continue de me sucer le cou.

— Je voulais juste m'assurer que tu allais bien, toute la journée tu semblais si préoccupé et ça m'inquiétait.

La main de Harven rentre dans mon pantalon.

Je le regarde les yeux grands ouverts, les dents serrées et je lui fais un coup d'épaule.

Il sourit malicieusement.

Je sens ses doigts sur mon clitoris.

— Euh…Brandon…je dois te laisser, j'ai plein d'autres choses à…faire.

— Oui bien sûr pas de soucis on se voit demain de tout façon, passe une bonne soirée.

Je raccroche immédiatement.

— Mais t'es malade ? Dis-je à Harven.

— Rompt avec lui dit-il en enlevant ses doigts de mon sexe.

Son air agacé me scrutait, il attendait sérieusement une réponse de ma part.

— Oui je vais le faire, d'ailleurs je voulais t'en parler… mais je ne sais pas comment faire-

— Dis lui que tu ne l'aimes pas et que tu ne l'as jamais aimé.

— Harven, tu penses pas que tu exagère ?

— N'est-ce pas la vérité ? Ou tu l'as aimé ?

— Je ne veux pas lui faire de mal, Harven. 

— Mais moi quand je te voyais avec lui, il n'y avait aucun souci.

— Non.

— Dit le lui demain matin ou je m'en chargerais.

— Tu es devenu fou ? Il pourrait extrêmement mal réagir à la nouvelle.

— Es-ce que c'est mon problème ?

— D'accord, je le ferai demain matin tapant mais notre relation doit rester discrète pendant un moment.

— Hum…pour qu'il ne se doute pas qu'il a été un bouche trou.

— Harven….

— Je ne veux absolument pas me cacher. Tu es ma petite amie, je veux que tout le monde le sache.

Petite PoupéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant