Chapitre 20

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J'étouffe un crit en me retournant vers moi amie, montrent toutes mes dents dans une grimace. Elle me dévisage dans une autre grimasse.

"-Discretos, géniteur de Cléo à droite avec le sweat jaune.

Elle se tord vivement le coup, les yeux grands ouverts.

-What ? That ! Oh tu me déçoit Gosh.

Je l'attrape par la manche pour que la rouquine arrête de le dévisager. Pitié qu'il reste lâche comme il a toujours était et qu'il ne vienne pas à notre rencontre.

-Au moins, on sais d'où elle tient ses dents du bonheur.
-Il ne faut pas qu'il nous voit !
-Et pourquoi ? Au contraire, tu devrais lui montrer à quel point tu es heureuse sans lui. Lui montrer ce qu'il rate.
-Non Jess. Je n'ai vraiment pas envie, je vais me mettre à pleurer. J'ai accepté la blessure ça ne veux pas dire qu'elle n'est plus a vif.
-Met un peu de Samuel dessus, ça ira mieux tu verras. Par Samuel, j'entends son sper..
-Stop ! J'avais cesi l'idée ne t'inquiètes pas.
-Ou Pierre si tu veux...
-Quoi ?
-No thing.
-Jessie.
-Il a dit à Carla chef artistique que vous aviez un bon filling. Dit-elle en levant plusieurs fois les sourcils.
-N'importe quoi. J'ai simplement accepté de manger avec lui un midi comme simple collègue.
-Simple collègue. Répète-t-elle en lèvent encore une fois plusieurs fois ses petits poils.
-Qu'est ce qu'il a dit d'autre ?
-Que tu lui lancer des sourires quand il passe devant toi. Que tu le mange avec tes yeux. Grr.
-Pardon ?! Je ne fais pas ça !
-Tu veux qu'on lui fracasse the teeth ? Elles sont bien trop blanches pour être vrai. Je pari mon salaire.

-Rose ?

Je roule des yeux en arrière. C'est pas vrai ! En même temps à attendre comme deux idiotes aux milieux de la rue. Je me retourne sur les nerfs. Pour deux raisons et il ait une des deux raisons.

-Bonjour, Jordan. Je grogne en me retournant.

Ses yeux se porte directement sur Cléo qui doit ressentir mon mal-être car elle se cache dans mon coup.

-C'est...
-Personne pour toi. Je crache.
-Je suis....
-Desolée les filles ça à étais plus long que prévu.

Il manqué plus que ça. Génial.

-Jessie, tu peux récupérer ta voiture. Tu avais un clou coincé dans la roue. Sûrement à cause des travaux en bas de la rue du Cordel.
-Merci. Dit elle en récupèrent sa clef.

On vient de la remorquer car elle n'est pas assurée 0 KM. Elle pensait que j'allais venir la chercher toute seule mais je ne me vois pas conduire la voiture de sport de Samuel. Mais j'aurais dû, clairement. Ça m'aurait évité cette situation.

La rouquine continue de nous regarder les yeux brillant. Elle attend que ça pète. Le brun se retourne vers mon ex petit ami qui ne l'avait même pas remarqué après avoir pris tout naturellement Cléo qui réclamer ses bras. Se sont des geste si naturel maintenant. Jordan est impressionné par Samuel malgré qu'il plante ses yeux dans les siens mais tout son corps se redit. Ce dernier lève un sourcils et nous regarde chaqu'un notre tours et semble comprendre. Son bras puissant se resserre du geste possessif  sur ma fille qu'il tient.

-Tu es qui, toi ?
-Son père.

Le brun ricane froidement avant de se planter devant lui, l'air menacent.

-Je ne savais pas que j'avais une tête de gamin avec trois poils au menton.

Mon coeur loupe un battement, voir quinze. Qu'est ce qu'il vient d'insinuer ? J'ai envie de pleurer. je vais pleurer et mon coeur a officiellement lâché. Jordan recule d'un pas se sentent menacée, il n'a jamais était très courageux. Et quand je l'ai regarde tout les deux je me dis que je suis passé d'un extrême à l'autre. Ils ne se ressemblent clairement pas. On remarque très vite que mon ex vient à peine de sortir de l'adolescence, un style un peu teufeur même. Alors que Samuel émet un Ora de puissance, je ne sais pas comme expliqué ça. Il dégage une confiance en lui impressionnente.

-Je....
-Tu quoi ? Tu es personne. Mettre la graine ne fait pas de toi le père idiot. Heureusement, un lâche comme toi. Dégage avant que je te mette ma main dans la figure parce que tu mérite bien pire.

Il ravale sa salive, me jette un rapide coup d'œil ensuite a Cléo qui câline comme à son habitude le grand brun. Ce dernier fait un pas l'air menacent et Jordan s'en va sans même se retourner. Quand est ce que Jessie s'est éclipsé ?

-Excuse-moi...
-Tu t'excuse de quoi Rose ? Fallait bien un jour qu'on tombe sur ce crétin. J'espère au moins que maintenant il s'est à quoi s'en tenir.
-Merci...
-Aller vient.

Je le suis jusqu'à sa voiture.

-Tu... Je commence avant de m'éclairer la gorge. Tu considères Cléo comme ta fille ?

Il jette un coup d'œil à la concerné via le rétro intérieur.

-Ca fait fait six mois que vous êtes chez moi. Que je m'occupe d'elle comme si c'était la mienne, forcément à un moment ça devient plus fort ce lien qui nous uni. Depuis le début elle me mène par les poils du nez.
-Elle t'a aimé dès qu'elle t'a vue.
-Et je crois que malheureusement c'est pareil pour moi.

Est ce qu'il veux me faire mourir d'un crise cardiaque ? Parce que c'est bien parti. Comment je ne pourrai pas tomber amoureuse de cet homme ? J'ai envie de crier. Je pourrais démenager de chez lui, j'en est les moyens maintenant. Mais mon excuse  c'est que je dois acheter une voiture. Et après qu'est ce que je trouverai comme excuse ? Puis Samuel ne m'a jamais demandé de partir, ni même insinuer.

-Oh regarde ! Une des voisines c'est acheter la voiture de mes rêves !

Il rigole quand on sors de la voiture, il détache Cléo, fouille sa poche et me tend une clef. Je fronce des sourcils.

-Joyeux anniversaire jolie coeur.
-Quoi ? Non ! Tu peux pas m'offrir une voiture pour mon anniversaire ! Puis comment tu sais que s'est mon anniversaire, je ne l'ai dis à personne ! C'est Marc ? Je vais le tuer !
-Essai là.
-Je ne peux pas accepter un telle cadeau Samuel.
-Rose. Dit il calmement en s'approchant de moi. Ça me fait plaisir, vraiment. Pour moi ce n'est pas grand chose. Et je n'ai pas envie de mettre Cléo dans un 206.
-Parce que le papa de Juliette à un SUV ? Et ça maman aussi ?

Il sourit malicieusement avant de venir m'embrasser.

-Et que j'ai affreusement envie te faire plaisir.
-Il y a d'autres façons de la faire...
-Hum... Tu sera mon dessert ce soir. J'espère que tu porte ce foutu bodie rose.
-Non, tu l'a cassé.
-Le bleu alors ?
-Ca peux se faire.
-Yes ! S'écrit il en ce reculent. Maintenant essaye ton nouveau bolide !"

Il me lance la clef que je rattrape au vol. L'intérieur est d'une propreté incroyable et ça sent le neuf. J.A.D.O.R.E. Je règle tous ce qu'il y a a régler avant de m'attacher. Pour vu que je n'ai d'accident. Je démarre et... Cale.
Le brun rigole avant de m'encourager le pouce en l'air et Cléo me fait des en revoir avec sa petite main. Je fond. Je redémarre et cette fois ci, c'est la bonne. J'ai l'impression de conduire un nuage tellement qu'elle est agréable et facile à conduire. Ma petite fiat 500 rose pâle.

Moment tendreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant