Chapitre 3

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LYRA

Percy : mais c'est dingue, c'est un stylo !

On sort du musée et on se dépêche de traverser la route.

Moi : mais enfin qu'est-ce qui se passe ?

Grover : écoute ne faite confiance à personne. Ne regardez personne ! Contentez-vous d'avancer !

Percy : pourquoi est-ce que monsieur Brunner, veut que tu nous surveilles ?

Grover : parce que je suis votre protecteur.

Je fronce les sourcils. Notre protecteur ? Je pose ma main sur l'épaule de Grover pour l'arrêter et je lui dis.

Moi : attend. Protecteur ? Tu rigoles là ?

Grover : quoi tu crois à cause de ça, dit-il en montrant ces béquilles, je peux pas assurer votre sécurité ?

Percy : peut-être que tu vois pas ce que je vois, Grover tu as des béquilles !

Grover : écoute, je donnerais ma vie pour qu'il ne vous arrive rien.

Moi : mais de quoi tu parles ? Qu'est-ce qu'il se passe ?

Grover : il faut qu'on prévienne votre mère. Aller, on y va.

On se remet tous les trois à marcher en direction de notre appartement. Quand on arrive à notre appartement on se dépêche de monter les escaliers et avec mon frère on rentre dans l'appartement.

Percy : maman !

Maman : ça va j'arrive.

Moi : maman, maman ! Ecoute il faut qu'on parle.

Notre mère se retourne vers nous.

Gaby : hé ! Hé tu vois pas qu'elle s'occupe de moi et mes amis ?

Moi : hé ! Hé tu parles pas comme ça a ma mère, espèce de crâne de d'obus puante !

Il se lève avant de m'attraper par le col de mon t-shirt pour me plaquer contre le mur.

Maman : non, Gaby !

Ma mère et Percy l'éloigne de moi, et Grover lui écrase le pied avant de lui donner un coup de béquille dans ces bijoux.

Percy et moi : jolie coup.

Grover : je vous l'ai dit : je suis votre protecteur.

Percy et moi : oui.

Grover : Sally, Percy et Lyra doivent partir maintenant. Vraiment maintenant.

Elle m'a l'air de comprendre pourquoi Grover dit cela.

Maman : d'accord.

Elle se dépêche de prendre les clés de la voiture et on sort de l'appartement.

...

Percy : écoute qu'est-ce qui se passe ? Parce que je t'assure, que n'y moi n'y Lyra on a rien volé.

Maman : chéri, je vous crois.

Moi : où est-ce que tu nous emmènes ? Et c'est quoi ce camp ?

Maman : c'est un camp pour les gens vraiment particulier, comme vous.

Moi : ''les gens vraiment particulier'' ? On est cinglé où un truc comme ça ?

Maman : non, ma chérie. Non. C'est en rapport avec votre père.

Notre père ? Je regarde Percy qui me regarde lui aussi.

The Daughter Of PoséidonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant