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On s'est fixé longuement puis y'a eu un petit blanc qui s'est installé.

Moi: je veux plus que tu pense à des trucs comme sa.

Kaysân: j'étais énervé et vas-y laisse tombé, dit-il en soufflant.

Moi: mais c'est pas une raison Kaysân.

Kaysân: il s'est passé dès truc de fou dans ma tête quand j'ai appris cet histoire emira je pourrais même pas t'expliquer w'Allah et en plus tu me répondais même pas.

Moi: oui bah toi non plus tu me répondais pas quand je t'envoyais des messages.

Kaysân: j'étais occupé j'avais même pas le temps de dormir dis toi.

Moi: ouais c'est sa.

Kaysân: mais w'Allah que je te ment pas.

Moi: pourtant quand t'es partit j'tes prévenue j'tes dis envoie moi un message quand t'es bien arrivé sur Marseille, ta même pas pensé à le faire.

Kaysân: ouais je sais mais j'tes dis que j'étais occupé.

Moi: d'accord Kaysân t'étais tellement occupé que même un message ta pas pu genre ? ok.

Kaysân: mais toi tu crois que j'suis allez à Marseille pour m'amuser ou quoi ? J'suis allez pour régler des affaires et w'Allah que j'avais le temps de rien faire.

Moi: d'accord.

Kaysân: arrête de me prendre la tête avec sa.

Moi: ok, dis-je en tournant ma tête vers la fenêtre.

J'les entendu soufflé puis il m'a attrapé par la nuque pour encré mon regard au siens.

Moi: quoi ?

Kaysân: la prochaine fois je t'enverrai un message.

Moi: non mais le fait pas c'est bon je m'en tape.

Kaysân: comment je m'en tape, dit-il en serrant ma nuque.

Moi: maintenant je sais que si t'aurais eu un peu d'estime pour moi et que t'aurai pensé à moi tu m'aurais envoyé un message mais toi nada.

Kaysân: mais tu raconte quoi la ? T'es une ouf, dit-il en rigolant.

J'ai repoussé sa main puis j'ai souffler.

Kaysân: pour un message sérieux ?

Moi: non pas pour un message non, tu comprend rien. Sa fais 1 semaine j'ai plus aucune nouvelle de ta gueule Kaysân je sais pas tu t'es pas dit attend j'ai une meuf à qui faudrait peut être que j'envoie un message parce que elle doit s'inquiéter ?

Kaysân: c'est vrai j'aurais dû ta raison, dit-il en m'attirant vers lui.

Moi: non lâche moi.

Kaysân: non sa fait 1 semaine j'tes pas vu je vais pas te lâché c'est mort.

J'étais limite affalé sur lui, Il avais ses bras autour de moi et il me déposé des baisers sur la tempe.

Kaysân: tu m'a manqué w'Allah.

Moi: rattrape toi ta raison.

J'les entendu ricané puis il ma fixé longuement.

Moi: me regarde pas j'suis gêné et en plus j'suis même pas un peu belle avec mon coquard, dis-je en me cachant avec mes mains.

Il m'a forcé à retirer mes mains de mon visage avant de déposé ses lèvres sur les miennes, eh bien sur impossible de lui résister...

« Et si c'était toi, mon bonheur ? » - Emira Où les histoires vivent. Découvrez maintenant