« Et si c'était toi, mon bonheur ? » - Emira

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Et rien qu'en le regardant j'ai envie de vomir, il me dégoûte tellement.

Il me répugne ce mec.

Il dégage tellement une onde négative et du vice.

Moi: lâche moi, dis-je en le poussant.

Il rie nerveusement avant de s'approcher de moi à petit pat.

Moi: dégage d'ici Izaak, et t'approche plus jamais de moi.

Izaak: calme toi ma chérie, sois pas nerveuse.

Moi: ferme la.

Izaak: sa te rend encore plus belle quand tu fais la sauvage comme sa, je kiffe.

Moi: bah moi tu me repugne sache le.

Izaak: hum oui sa doit être ça bien sûr.

Moi: cesse de me suivre et pose plus jamais la main sur moi sinon tu risque d'avoir de gros problème.

Izaak: tu va faire quoi ? Appeler tes frères ? Ou ton sois disant mari ? Dit-il en riant.

Moi: tu fais grave pitié, dis-je en le regardant méchamment.

Izaak: alors sa fais quoi de se faire frapper par Adnan hein ?

Moi: ferme ta gueule.

Izaak: il t'a pas loupais en tout cas et tout le monde parle de sa au quartier, je me suis dis que j'allais venir te rendre visite et voir comment tu allais.

Moi: va bien te faire foutre Izaak, dis-je avec rage.

Izaak: pourquoi t'es vulgaire comme sa avec ta jolie petite bouche ?

Moi: tu me répugne tellement j'te jure même voir t'a gueule en face je peux plus.

Il me détaille du regard de haut en bas avant de se mordre les lèvres.

Moi: range tes yeux ou ma parole que je te les crève.

Izaak: comment veut-tu que je l'es range face à un corps comme le tien ?

Moi: tu sais quoi Izaak ? J'suis épuisé et j'ai vraiment pas la tête à me disputer avec ta sale gueule alors je vais rentrer chez moi et je vais faire comme si rien de rien était et j'espère pour toi que c'est la dernière fois de ta vie que tu m'adresse la parole et que tu pose les yeux sur moi comme tu viens de le faire.

Je lui lance un regard noir avant de lui tourner le dos.

Je l'entend ricaner derrière moi et sa me met encore plus les nerfs.

Izaak: fais attention à ton entourage Emira, dit-il en riant.

Va bien te faire foutre Izaak, j'te haie du plus profond de mon coeur.

Je fais pas attention à ses paroles et je trace ma route.

Et si seulement je savais...

{...}

Moi: et tu comptais me le dire quand que tu avais du sursis hein ?

Kaysân: c'est pas important, dit-il en soufflant.

Moi: tu te fou de moi la j'espère ?

Kaysân: non.

Moi: d'accord Kaysân tu sais quoi je te laisse tranquille parce que là j'ai l'impression de parler à un mur je sais même pas pourquoi je suis descendu de chez moi.

Kaysân: c'est rien ça y est tu crois c'est parce que j'ai du sursis que je vais rentrer en taule ou quoi ?

Moi: mais tu réalise pas je crois ? On t'attrape une seule fois et on te fou en prison.