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Mon père: rentre ma fille reste pas devant la porte, viens assis toi.

Je ne parviens pas à répondre. J'essaie de
calmer les pulsations de mon coeur mais c'est
impossible.

Je détourne le regard de Kaysân et tente de masquer ma gêne au maximum. Je ne dois pas rougir, ça serait trop gênant.

Il continue de me détaillé et moi je me retiens de sourire.

Il finit par m'adresser un petit sourire, son geste est timide.

J'avance au salon et je me place à côté de mon père, tout en saluant tout le monde.

Je ne peux pas m'empêcher de me tourner vers
lui pour le regarder. Ses fossettes sont visibles,
ses yeux se sont plissés et il ne cesse pas de me
regarder.

De sa bouche s'échappe un petit rire, sa doit sûrement lui faire tout drôle de me voir dans cet état.

Il est magnifique.

Mon père: tu as du retard hein.

J'étais tellement gêné que j'osais même plus relevé mon regard de mes mains.

Mon père: on attendais plus que toi pour enfin finalisé sa hein Kaysân, dit-il en le regardant.

Il accorde un sourire sincère à mon père qui intensifie encore plus mon trombe.

Je relève la tête timidement et je fixe un par un toutes les personnes présentes dans mon salon.

Et puis je tombe sur le regard de mon frère Ali son sourire éclatant ne le quitte pas.

Ali: tu comprend maintenant pourquoi on voulais que tu rentre ? Dit-il en souriant.

Oui maintenant je comprend enfin pourquoi tout le monde insistait autant.

Mon père: alors passons au chose sérieuse, dit-il en se raclant la gorge.

Ma mère était revenu avec du thé et des gâteau sur un plateau avant de servir tout le monde.

Ils avaient déjà tout préparer...

Mon père: bon je vais allez droit au but et je vais pas passez par quatre chemin, dit-il sérieusement.

Le stresse était là et ne me quittais pas.

Un homme assez âgé se présentais au près de Kaysân tandis qu'une vieille femme se tenais au côtés de ma mère.

Il n'y avait pas la mère de Kaysân mais je pense que c'est parce qu'elle est encore à l'hôpital.

Mon père: bon si Kaysân est venu se présenté aujourd'hui avec son oncle ce n'est pas pour rien tu le sais sa ma fille ? Dit-il en me regardant.

Moi: oui, dis-je en baissant la tête.

Mon père: tu dois t'en douter sûrement, dit-il en m'accordant un petit sourire.

J'ai cru que mon coeur allais explosé, j'osais même pas regarder Kaysân parce que j'était tellement gêné.

L'oncle à Kaysân: Salam Alaykum m'a fille je suis l'oncle à Kaysân et le père à Bilel que tu dois sûrement connaître.

« Et si c'était toi, mon bonheur ? » - Emira Où les histoires vivent. Découvrez maintenant