J'suis descendu de sa voiture en pleure.Et je suffoquais, j'avais tellement mal au coeur.
J'arrive pas à me dire que tout est finis, et que je l'est laissé la.
Mais on pouvais pas, c'était impossible.
Mon coeur est si vide sans lui.
Je lui est lancé un dernier regard et je l'est vu se défoulais sur le volant, puis il a démarré en trombe en quittant les lieux.
C'était finis.
C'est terminé, et maintenant Kaysân c'est qu'une erreur du passé pour moi.
j'arrivais toujours pas à m'arrêtais de pleurer et j'avais du mal à marcher correctement tellement j'était pas bien.
J'ai pris appuis contre un mur en essayant de reprendre ma respiration petit à petit.
J'allais plus jamais sentir son odeur, j'allais plus jamais l'entendre m'appeler ma poupée, j'allais plus jamais l'entendre me taquiner, plus jamais.
J'avais trop mal au coeur.
Je l'est abandonné comme son père alors que je lui ai promis de jamais le faire.
Mais j'ai fais sa pour notre bien.
Car tôt ou tard on allais finir par se détruire parce que lui et moi c'est un amour interdit.
Mon coeur est meurtri.
Je me sentais tellement pas bien, mes jambes ne tenais plus alors j'ai sentis que j'allais m'écrouler mais une pression s'est saisi de mon bras afin de me relever.
Izaak.
Il m'a attrapé par le bras afin de me tenir contre lui.
Izaak: oh ça va Emira ? Il se passe quoi là pourquoi tu pleure ?
Moi: je.. je sais pas.
Izaak: il s'est passais un truc ? On t'a fais du mal ? On t'a frappé ?
Moi: quoi non non y'a rien du tout, j'suis juste pas bien.
Izaak: j'tes vu sortir de la voiture à Kaysân, il t'a fais un truc dis moi Emira ?
Moi: non Izaak c'est juste que ... je vais juste pas bien c'est tout.
Izaak: mais regarde ton état Emira, tu pleure tellement que ta du mal à respirer et t'allais t'écrouler au sol là, dit-il en fronçant les sourcils.
Moi: c'est rien du tout, il m'a rien fais j'te dis, dis-je en essuyant mes larmes.
Izaak: t'es sûr de toi ?
Moi: oui j'te promet.
Izaak: bah alors pourquoi tu pleure je comprend pas ? J'suis pas fou y'a un truc là, pourquoi t'es dans cet état là, dit-il en me regardant bizarrement.
Il a fallu qu'il me voit descendre de la voiture de Kaysân, c'est quoi cet poisse.
Le pire c'est qu'on était grave éloigné du quartier et c'était un coin paumé, y'a jamais personne qui traîne ou qui passe par là bas.
Moi: non il se passe rien du tout.
Izaak: j'espère pour toi Emira.
Attendez quoi ? Il se prend pour qui lui ?
Moi: pardon ? comment sa ?
Izaak: j'espère que là cause de tes larmes c'est pas Kaysân.
Moi: j'tes dis que non y'a quoi que tu comprend pas ?
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« Et si c'était toi, mon bonheur ? » - Emira
RomanceUn simple regard suffit à sceller son destin et à chambouler le cours de sa vie.