Moi: t'es sérieux là tu rigole pas ?Kaysân: j'ai l'air de blaguer là ? Vas-y arrête tes conneries la.
Moi: mais je...
Kaysân: tu quoi ?
Moi: mais arrête de me couper la parole à chaque fois t'es chiant.
Kaysân: j'suis là j'te dis je vais allez voir tes frères tu me dis si j'suis sérieux.
Moi: c'est juste que j'suis choqué enfaite.
Kaysân: tu veux pas ? Dit-il en fronçant les sourcils.
Et j'ai de suite étais foudroyée par son regard noir.
Moi: quoi ?
Kaysân: tu veux plus ?
Moi: mais pourquoi tu dis sa Kaysân, dis-je en m'approchant de lui.
J'ai posé ma main sur sa cuisse puis j'ai continué à le fixer, il était tellement beau.
Kaysân: moi j'te veut mais est ce que toi t'es sur de me vouloir? Parce que Emira la y'aura plus de retour en arrière sa sera finis toute ses putains d'histoires de merde.
Moi: oui je sais bien qu'il y aura plus de retour en arrière.
Kaysân: je sais pas ta pas l'air d'être sur de toi, t'es bizarre w'Allah, dit-il en se levant.
Et il me regardais avec un air perdu, j'avais l'impression qu'il avais peur de ma réponse fin que je lui dise que je veux pas.
Kaysân: c'est quoi tu veux plus c'est sa ? Dit-il froidement.
Je me suis levé du canapé et je me suis approché de lui afin de poser ma main sur sa joue sauf qu'il a reculé et il a évité mon contact.
Kaysân: répond à ma question w'Allah t'es en train de m'énerver là, joue pas Emira.
Son regard est rempli d'interrogation.
Moi: quoi je peut plus te toucher maintenant ? Dis-je avec un sourire en coin.
Je me suis encore plus approché de lui et on a finis par être collé, et au contact de sa main sur ma gorge j'ai eu plein de frisson.
Kaysân: j'tes dis joue pas à sa, dit-il en serrant son emprise sur mon cou.
Moi: je ne joue pas, dis-je en murmurant.
Kaysân: répond à ma question avant que je te casse la bouche, dit-il en s'énervant.
Moi: pourquoi tu t'énerve comme sa ? Calme toi, dis-je en riant.
Kaysân: en plus tu rigole ? Tu te fou de ma gueule là ?
Il m'a soulevé d'un bras avant de me ramener dans sa chambre et de me jeter sur son lit brusquement.
Moi: mais aïe ça va pas de jeter les gens comme sa, ta cru j'étais un jouet ou quoi ?
Je me suis relevé du lit et je lui est tenu tête.
Kaysân: continue toi.
Moi: tu sais faut se détendre dans la vie mon chéri, dis-je en caressant son bras du bout des doigts.
Son regard sur moi. Me brûle.
J'ai continué à balader mes doigts jusqu'à sa nuque puis j'ai enroulé mes mains derrière celle ci.
Et rien qu'avec son regard ... j'ai senti comme il me désirait.
Moi: t'es tellement beau quand tu me fais le nerveux chéri, dis-je en me moquant de lui.
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« Et si c'était toi, mon bonheur ? » - Emira
RomanceUn simple regard suffit à sceller son destin et à chambouler le cours de sa vie.