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Je savais pas quoi lui répondre alors j'ai préféré ne rien dire, on s'est fixé dans les yeux pendant quelque seconde et je sais pas comment vous le décrire mais Kaysân il a un regard qui déstabilise trop et il m'intimide tellement que j'arrive jamais à le soutenir donc j'ai baisser la tête.

Je l'est entendu rire avant de démarrer la voiture et de rouler.

Moi: on va où ? Il est tard et en plus yesime il va pas tarder à rentrer.

Kaysân: t'inquiète pas il est occupé il est pas prêt de rentré.

Il a roulé pendant peut être 30 minutes puis il s'est arrêté sur le coter, je crois que il m'avais ramener dans une calanque je connais pas trop Marseille mais je pense que c'était sa, sa devait être magnifique la journée on étais positionnée en hauteur et on avais une vue magnifique sur la plage, il est sortit de la voiture avant de se positionner sur le capot et de s'allumer une cigarette moi j'attendais dans la voiture parce que je vous ment pas j'avais trop froid même avec le chauffage allumé.

Mais au bout d'un moment j'en ai eu marre donc je suis sortit et j'suis aller me mettre à côté de lui.

Je regardais l'horizon j'admirais le ciel, j'étais trop gêné parce que c'est la première fois qu'avec Kaysân on est si proche et de temps en temps je sentais son regard sur moi et un moment Il a pris une mèche de mes cheveux pour la coincer derrière mon oreille avant de se rapprocher de moi et de me dire:

Kaysân: t'es belle, dit-il en recrachant sa fumée.

Alors là, j'étais pire qu'une tomate j'ai senti mes joue devenir toute rouge, j'osais même pas le regarder dans les yeux j'étais tellement intimidé par son geste et sa parole.

Kaysân: on dis merci quand quelqu'un te complimente, dit-il avec le sourire en coin.

Moi: merci, dis-je en souriant timidement.

Kaysân: c'est la première fois tu viens à Marseille ?

Moi: oui c'est la première fois.

Kaysân: faut venir plus souvent ici.

Moi: c'est vrai que c'est beau Marseille.

Puis on est rester là sans rien se dire, à fixer le paysage seulement mais j'avais trop de question à lui poser par rapport à l'histoire de la dernière fois.

Moi: c'est vrai que aydar il ose plus revenir au quartier et qu'il est dans un sale état ? Dis-je curieuse.

Il a tourner sa tête vers moi avant de passer sa main sur sa barbe et de remettre correctement sa casquette.

Kaysân: pourquoi t'ouvre ta bouche sur sa, pose pas de question.

Moi: mais je veux seulement savoir c'est tout.

Kaysân: bah cherche pas à savoir, dit-il en fronçant les sourcils.

Et le voilà qu'il commence déjà à s'énervé, j'ai jamais vue un mec qui s'énerve autant vite que lui c'est grave.

Moi: d'accord comme tu veux Kaysân, dis-je en soufflant.

Kaysân: t'inquiète pas il viendra plus te faire chier ce petit con, dit-il en se rallumant une cigarette.

« Et si c'était toi, mon bonheur ? » - Emira Où les histoires vivent. Découvrez maintenant